Un lasergame au SCD de Limoges

La démarche

Une grande session de Laser Game s’est tenue le 17 février 2017 à la Bibliothèque de droit et sciences économiques du SCD de l’Université de Limoges. Cet événement est venu récompenser la promotion d’étudiants qui a le plus répondu à l’enquête de satisfaction Libqual menée à l’automne dernier.

Texte alternatif pour l'image
Photo : SCD de l'université de Limoges

Le SCD a piloté le projet dans toute sa réalisation et a travaillé en collaboration avec différents services de l’Université et partenaires extérieurs, afin de mettre en place cet événement, exceptionnel par sa nature et le lieu où il devait prendre place.

Le groupe de travail a d’abord réfléchi à la bibliothèque la plus adaptée pour accueillir ce type d’événement. La BU de droit, située en centre-ville de Limoges, dotée de grands espaces et facilement accessible, a été retenue. Nous avons ensuite contacté le service du patrimoine bâti de l’Université afin qu’il se rende sur les lieux et que nous listions ensemble les dangers potentiels liés à ce type de jeu (risque de se cogner aux rayonnages, de tomber de la mezzanine, etc.), mais également ses atouts.

Une fois leur accord donné, sous réserve d’adapter certains espaces, nous avons demandé l’autorisation au responsable de sécurité du lieu.

Parallèlement à ces démarches administratives et de sécurité, nous avons contacté les différents prestataires de lasergame à Limoges. Un seul a répondu rapidement à notre demande et est venu repérer les lieux potentiels de jeu : techniquement, il était possible de jouer à la BU et d’utiliser les espaces et le mobilier présent. Le potentiel ludique était évident.

L’organisation de la soirée

Une fois les autorisations accordées et les problématiques techniques levées, nous avons préparé cet événement en plusieurs étapes.

Les nécessités administratives

Nous avons élaboré un dossier de sécurité de manifestation indispensable afin qu’il soit étudié par la mairie de Limoges. Nous l’avons envoyé début décembre, soit deux mois et demi avant l’événement. Anticipant les questions de la commission, nous l’avons détaillé au maximum.

Les contraintes du lieu ont demandé une concertation nécessaire avec la Faculté de Droit Sciences Economiques, puisque la BU se situe en son sein. Prévoyant une fermeture à 22h au lieu de 20h habituellement, nous avons anticipé le financement de personnels de sécurité supplémentaires et la fermeture du parking du bâtiment à l’heure habituelle.

La préparation de la soirée

Après avoir accepté le devis du prestataire du lasergame, il nous a semblé évident que nous allions devoir contrôler l’entrée à la BU. Les parties sont prévues pour vingt joueurs à la fois, et nous attendons une centaine d’inscriptions. Comment accueillir toute une promotion et la faire patienter ?

Le hall de la faculté précède la bibliothèque et dispose d’espaces suffisamment grands pour imaginer des divertissements annexes ainsi qu’un buffet.

Aussi, pour ces animations et leur articulation avec le lasergame, nous avons étroitement travaillé avec le vice-président étudiant et une association d’étudiants (la Fédération Léa, pluridisciplinaire). Nous avons également signé une convention avec la ludothèque de Limoges et avons emprunté des jeux « géants » type Puissance 4, Jenga, chamboule-tout afin que les équipes qui patientent participent à une olympiade menée par le vice-président étudiant. Dans le même temps, les deux équipes qui s’affrontent tour à tour au lasergame dans la bibliothèque cumulent également des points. A la fin de la soirée, les gagnants obtiennent un lot.

Cet événement étant une première en France, nous avons choisi de mobiliser un nombre d’agents important entre 17h et 22h. Il s’agissait à la fois d’anticiper les éventuels débordements des étudiants, notamment lorsque nous avons su qu’une promotion de médecine avait gagné, et de gérer les flux de personnes entre le hall et la BU.

Nous avons informé les participants environ trois semaines avant la date. Il n’y a pas eu d’autre forme de communication ou publicité. Nous avons demandé aux étudiants de s’inscrire afin d’évaluer le nombre de présents et d’avoir une liste nominative des joueurs. En effet, si le hall de la faculté est ouvert à tous, nous avions décidé de fermer la BU et d’en contrôler l’accès avec la liste des inscrits et leur carte d’étudiant en main. Sur 107 inscrits (la promotion étant de 150 personnes), il y a eu 5 absents. Le hall, accessible à tous, était cependant relativement désert ce 17 février, jour de début de vacances scolaires.

Du côté des personnels, nous avons lancé un appel à volontaires dans tout le SCD, avec en contrepartie une compensation en récupération, et une partie de lasergame à la fin de la soirée. Nous avions estimé les besoins à dix agents présents simultanément entre 17h et 22h. Finalement, six personnes auraient suffi. Outre la surveillance, nous avons eu besoin de deux personnes pour gérer les flux entre le hall et la BU, une personne qui faisait signer les autorisations de diffusion en deux exemplaires, du renfort pour préparer les lieux mais également ranger et nettoyer par la suite.

La communication

Si nous ne souhaitions pas communiquer en amont sur cet événement, nous avons néanmoins prévu de le faire largement dès le début de la soirée et les semaines suivantes. Cette première en France nécessitait de la prudence mais nous a enthousiasmés dès le départ.

Du côté de l’Université, nous avons travaillé avec « CanalSup », notre webTV. L’équipe est venue filmer la soirée et nous a proposé cela sous la forme d’un clip promotionnel pour le SCD et l’Université.

Nous avons également contacté le service communication, qui a relayé les différentes vidéos le soir même sur la page Facebook de l’Université. Nous leur avons également envoyé un article et quelques photos qui paraîtront dans le prochain journal destiné à la communauté universitaire.

Texte alternatif pour l'image
Photo : SCD de l'université de Limoges

De plus, nous avions invité le journal local « Le Populaire » à  relayer l’événement.

Notre prestataire, Laser League Limoges, a également diffusé des « live Facebook » tout au long de la soirée.

Les étudiants se sont bien emparés des réseaux sociaux, notamment Facebook et Twitter, pour poster leurs vidéos et leurs photos.

Texte alternatif pour l'image
Photo : SCD de l'université de Limoges
Texte alternatif pour l'image
Photo : SCD de l'université de Limoges

Bilan

Comme toute organisation d’événement, celle-ci a été ponctuée de nombreux obstacles, mais l’anticipation dont a fait preuve l’équipe a permis de réagir rapidement. La contrainte majeure de cette soirée a été le cadre de son organisation : elle est une récompense à la promotion qui s’est le plus mobilisée pour répondre à notre enquête Libqual. Il a été compliqué de faire comprendre à nos répondants que la taille de la promotion n’entrait pas en jeu puisque nous comptions en proportionnelle. De notre côté,  nous craignions néanmoins que les gagnants soient une toute petite promotion… ce qui n’aurait pas donné la même ampleur à l’événement.

La deuxième contrainte a été de clarifier les paramètres de réponse à l’enquête avant son lancement : comment compter et diviser les différentes disciplines et les différents niveaux afin de pouvoir définir facilement qui avait gagné ? Notre Université étant pluridisciplinaire, nous avons eu un travail important à faire en amont.

Une fois ces participants déterminés (mi-janvier), nous les avons contactés afin qu’ils s’inscrivent. Nous leur avons laissé jusqu’à début février pour le faire, c’est-à-dire que nous ne savions pas combien nous aurions de présents à quinze jours de la soirée ! Cette inconnue a rendu les préparatifs plutôt lourds à gérer et a demandé une réactivité importante puisque nous avons tout fait durant les deux semaines restantes.

Par ailleurs, outre le scepticisme des personnels sur le bien-fondé d’un tel événement dans une bibliothèque, et leur méconnaissance de la nature du jeu, nous ne savions pas dans quelle mesure les étudiants allaient se l’approprier.

Nous avions prévenu les inscrits que nous serions intransigeants sur les conditions de sécurité et la présence d’alcool dans les locaux. La soirée commençant à 18h, la plupart sont venus à la sortie des cours et étaient dans une dynamique tout à fait positive. Nous n’avions pas perçu à quel point le jeu dans ce lieu symbolique et silencieux qu’est la bibliothèque les intriguait. Tous souhaitaient démarrer en même temps, étant impatients d’utiliser la BU pour jouer, courir, écouter de la musique…enfreindre, le temps d’une soirée, les règles, symboliques et écrites, de leur lieu d’étude.

Nouveau rendez-vous lecture à Calais

À Calais, la médiathèque lance un nouveau rendez-vous autour de la lecture, intitulé « Livre et vous ». Une fois par mois, les usagers seront accueillis « en alternance à la médiathèque et à la librairie du Port pour parler d’un livre, quel qu’en soit le genre, qu’ils ont aimé ou détesté. »

Chaque lecteur est invité à « poser en bibliothèque un macaron sur le livre qu’ils auront présenté ou d’y glisser un signet avec leur commentaire », afin  que l’établissement garde une trace de cet avis. La librairie présentera en vitrine les ouvrages ayant reçu un commentaire.

Une bibliothèque musicale propose l’emprunt de partitions

Depuis 2010, l’école de musique Loire-Divatte a développé un fonds de documents musicaux composé de 800 partitions. La proximité avec la médiathèque Divatte-sur-Loire et « l’envie commune de proposer un nouveau service à la population » ont amené les deux établissements  à imaginer la mise à disposition de ces documents au public.

Désormais, le fonds de documents de l’école de musique est intégré au catalogue de l’Espace COOLturel, visible et réservable directement sur le site de la médiathèque. Pour emprunter les partitions, il suffit de les réserver en ligne.

Le bibliothécaire de demain

L’agence de la région Centre-Val de Loire pour le livre, l’image et la culture numérique (CICLIC) vient de débuter la « publication en ligne d’un cycle thématique sur l’avenir des métiers du livre ». Intitulé « Être bibliothécaire, demain », le premier volet de cette série d’articles est ainsi consacré au métier de bibliothécaire.

Signée par Éléna Da Rui (directrice des médiathèques de Créteil), cette publication met « en lumière la “force du lien humain”, un des “solides invariants” d’un métier né dans l’Antiquité et qui a toujours su s’adapter aux mutations des pratiques culturelles et des technologies ».  L’article décrit aussi les évolutions du 21e siècle « déjà largement amorcées dans les équipements de lecture publique » et explique pourquoi le métier restera incontournable dans les « rouages de l’acquisition des connaissances, de la constitution des savoirs, et de l’accès à la culture ».

Plaidoyer pour une bibliothèque universitaire sans cotes

Constatant la perplexité habituelle des étudiants devant les cotes que nous utilisons, nous avons imaginé une bibliothèque qui s’en passerait. Nous espérons – with all due respect – que notre idée n’est pas une antienne régulièrement ressassée et dont le compte a été réglé il y a longtemps …

Le Service Commun de la Documentation de l’université Paris1 Panthéon Sorbonne utilise pour les ouvrages juridiques une version adaptée de la classification de Bordeaux. Mise au point par l’université de Bordeaux et destinée au droit français, c’est une classification alphanumérique (une à deux lettres suivies par deux à trois chiffres, plus dans le cas des subdivisions de forme).
Ainsi, les ouvrages de droit de la famille sont regroupés sous l’indice Ka 1.13. Avec la marque de l’ouvrage (le plus souvent les trois premières lettres du nom de l’auteur et le numéro d’exemplaire), la cote indiquée au dos du livre et au catalogue est donc Ka 1.13 BEN ex 1 pour le premier exemplaire du livre d’Alain BENABENT, Droit de la famille, LGDJ. 2014.

Depuis quelques années, nous regroupons les codes juridiques et les rangeons par ordre de cote, proche de l’ordre alphabétique des titres, et nous constatons que les étudiants perdent néanmoins beaucoup de temps à trouver le code qu’ils cherchent – attirés d’abord par la casse de la cote Ka 1 COD CIV ex 60 ou K bis b COD MON ex 2 plutôt que par le titre Code civil ou Code monétaire et financier.

L’idée nous est donc venue de ne plus coter les codes juridiques et de les ranger par ordre alphabétique de titre. Les dos restent vierges, les étudiants voient immédiatement le nom du titre recherché, trouver et ranger un code devient plus aisé. Nous créons une cote « Codes », qui apparait sous sa forme littérale lors d’une recherche catalographique de code et vient remplacer les indices utilisés précédemment. Nous renonçons à indiquer le numéro d’exemplaire sur le dos, il n’est plus présent que sur la page de titre. Les codes sont plus vite à disposition des étudiants puisque leur équipement se réduit à l’estampillage, l’antivolage et la pose du code à barres. La cote « Codes » faisant partie des données d’exemplaire, nous conservons à l’identique les possibilités de traitement des collections et de recueil de données statistiques offertes par notre SIGB Aleph (dans le cas des codes juridiques, des statistiques globales nous suffisent).

Mais peut-on étendre ceci à toute une bibliothèque de droit, peut-on imaginer une bibliothèque sans cotes ?

L’appliquer aux codes est facile : ce sont des ouvrages aisément reconnaissables (les fameux codes rouges ou bleus), leur titre est clairement porté au dos et sur la couverture.

Nous pouvons faire aisément de même avec les mélanges qui sont chez nous tous regroupés. Quelle est l’utilité de coter Ga (0.82) XXX des ouvrages rangés ensemble par ordre alphabétique du dédicataire ? Ils sont en effet très facilement identifiables par les étudiants et les bibliothécaires puisqu’ils portent toujours en titre Mélanges en l’honneur de ou bien Liber amicorum.

Mais comment se passer des cotes pour tous les autres ouvrages ?

L’idée consiste à ne plus utiliser les 200 indices de notre classification de Bordeaux mais à les remplacer par leur libellé littéral : ainsi, l’ouvrage de Lionel ANDREU, Cours de droit des obligations ne sera plus coté Ka 1.2 AND au catalogue mais « Droit des obligations ». Cette cote littérale n’a pas besoin d’être portée au dos de l’ouvrage puisqu’elle sera identique pour tous les livres de ce thème. Les 90 titres de cette cote seront, comme ils le sont déjà, rangés par ordre alphabétique d’auteur au même endroit qu’auparavant signalé par le libellé « Droit des obligations ».

Si l’absence des cotes ne gêne pas dans le cas des codes et des mélanges immédiatement identifiables, sera-t-il aussi aisé de trouver puis de ranger des manuels, des précis ou des traités juridiques sans cotes ? A l’évidence non pour le rangement, c’est pourquoi nous équipons les ouvrages d’une étiquette reprenant le libellé de leur nouvelle cote littérale (« Droit des obligations » selon notre exemple), étiquette collée sur la couverture en haut à gauche et non au dos. Nos étudiants ou les collègues chargés du rangement savent donc à quel endroit (tablette, travée, épi clairement signalés) ranger l’ouvrage par ordre alphabétique d’auteur. Trouver un livre rangé par ordre alphabétique d’auteur parmi d’autres livres sur le même thème sera aussi simple qu’auparavant : il suffira de lire son titre et son auteur mentionnés au dos … ce que le système actuel avec ses nombreuses cotes semblables impose déjà !

CQFD : Plus d’indices de cotes, ni au dos des ouvrages ni au catalogue, mais des ouvrages toujours rangés par ordre alphabétique d’auteur et selon le plan de classement de notre classification de Bordeaux !

Certes, je ne méconnais pas que le rangement risque d’être un peu plus long – ou plutôt moins automatique – ni qu’un ouvrage mal rangé risque de le demeurer un peu plus longtemps, cependant, quel plaisir de ne plus livrer des colis parallélépipédiques rectangulaires à leur bonne adresse, mais de ranger nos livres avec leur titre, leur auteur et leur thématique…

ABF : des avancées encourageantes pour le réseau des bibliothèques de Sevran

Interpellée en février dernier « par un collectif de professionnels sur l'avenir incertain et préoccupant du réseau de lecture publique de Sevran (Seine-Saint-Denis) », l'Association des bibliothécaires de France s'était alarmée de la situation préoccupante de ce réseau de bibliothèques.

Dans un nouveau communiqué, l'ABF a indiqué avoir été informée « d'avancées encourageantes », la mobilisation des habitants et d'acteurs institutionnels ayant « contribué à débloquer la situation ».

A court terme, « des postes ont été débloqués et des travaux de réhabilitation des équipements sont programmés ». A moyen terme, « la mairie s'oriente vers la signature d'un contrat territoire-lecture avec la DRAC IDF », la mise en place d'une commission municipale dédiée à la lecture publique étant aussi prévue. Une réflexion quant à la reconstruction des deux bibliothèques impactées par les travaux de construction des futures gares du Grand Paris Express sera également engagée.

Cambrai : une exposition collective sur le rock

Pour la 15e édition du festival de musiques actuelles Betizfest (les 7 et 8 avril prochains), la médiathèque d’agglomération de Cambrai (MAC) a proposé aux habitants « d’apporter leurs contributions à une exposition interactive autour de l’histoire locale du rock ».

Affiches, disques vinyles, photos, tickets de concert, etc., sont collectés et alimentent cette « exposition évolutive qui sera réactualisée tous les quinze jours avec les objets déposés au fur et à mesure ».

Culture : un dégel de 65 millions d’euros de crédits

Suite à l’accord du Premier ministre Bernard Cazeneuve, la ministre Audrey Azoulay a annoncé le dégel anticipé d'une partie des crédits du ministère de la Culture et de la Communication.

65 millions d'euros seront ainsi rendus « disponibles dans les prochaines semaines, en particulier auprès des Directions régionales des affaires culturelles ». Ces crédits supplémentaires serviront à :

  • « consolider, dans tous les secteurs de la création, le soutien aux artistes, aux institutions, aux réseaux labellisés, aux festivals et aux lieux d’art contemporain  (37 M€) » ;
  • renforcer l’éducation artistique et culturelle (9 M€) ;
  • mieux accompagner l’insertion professionnelle des jeunes créateurs et l’enseignement supérieur dans le domaine de la culture (6 M€) ;
  • faire bénéficier pour la première fois au programme Patrimoine d’un dégel de ses crédits (8 M€) pour financer des actions spécifiques, et notamment la participation du ministère au fonds Patrimoine en péril (4 M€).

Prix de l’Innovation « Futurs Publics » pour le jeu « Hellink »

Le pôle innovation pédagogique de la bibliothèque universitaire Pierre-et-Marie-Curie (BUPMC) a travaillé pendant un an à la création d’un jeu vidéo de formation intitulé « Hellink », destiné aux étudiants de Licence.

« Hellink » et le service lié à son développement viennent de recevoir le Prix de l’Innovation « Futurs Publics » du SGMAP (secrétariat général pour la modernisation de l’action publique – services du Premier Ministre) le 16 mars dernier.

Développé avec des notions d’UX Design et doté d’une qualité graphique similaire aux jeux vidéo du circuit indépendant, « Hellink » permet notamment de sensibiliser les étudiants aux sciences de l’information.

Pages

Subscribe to Front page feed