Banques d'images et vidéodisque

Isabelle Boudet

C'est dans le cadre du 1er Salon international du vidéodisque et de l'image interactive, « L'Image laser 86 », organisé par le Carrefour international de la communication, que la BPI avait convié les spécialistes des fonds d'images à une journée d'étude, le 16 avril.

La BPI a en effet acquis un solide savoir-faire en matière de techniques d'accès aux images et a fait le choix du vidéodisque pour reporter l'ensemble de ses collections de diapositives (120 000). Un premier disque, « Civilisations », a été réalisé (histoire, histoire de l'art, tourisme et religion), deux autres, « Beaux Arts » et « Sciences et techniques », le seront au cours de l'année 1986.

Cette journée a été l'occasion de faire le point sur les questions techniques et les problèmes d'organisation que posent la création et la gestion des banques d'images 1.

A travers un tour d'horizon très complet et des interventions riches d'expériences, on a vu naître un certain nombre de débats : sur les choix de filière de production, pour ou contre le transfert préalable des documents sur film 35 mm, avant leur report sur bande vidéo; et surtout sur la nécessité de donner à voir les images en priorité, plutôt que d'affiner nos discours à leur endroit.

Par ailleurs, une table ronde a réuni les responsables d'une impressionnante foison de vidéodisques, réalisés ou en projet, à des degrés d'avancement divers, dans le secteur culturel.

L'image interactive

Jean-José Wanègue, chargé de mission à la DGT (Direction générale des Télécommunications), a mis en évidence les atouts du vidéodisque pour les applications audiovisuelles interactives, et d'abord son aspect multimédias, puisque l'on peut stocker sur ce support aussi bien des images fixes que des images animées, du son, du texte et des données informatiques.

Evoquant l'histoire mouvementée du vidéodisque et les abandons successifs de Thomson (en 1982) et de RCA (en 1984), J.-J. Wanègue a décrit les deux principaux standards qui restent en lice, le VHD (Video High Density) de la firme japonaise JVC, et le Laservision de Philips, adopté par Hitachi, Pioneer et Sony, pour ne citer que les plus importants constructeurs de vidéolecteurs.

Ces deux systèmes ont en commun l'enregistrement du programme vidéo sous forme de minuscules cuvettes disposées le long d'une spirale. Mais le VHD est à lecture capacitive, c'est-à-dire que la détection des signaux passe par une tête de lecture, un patin qui « palpe » la surface du disque, alors que le Laservision utilise des procédés d'enregistrement et de lecture optiques, par laser. Ce mode de lecture sans contact évite l'altération du signal et l'usure du disque.

Les disques Laservision ont deux formats :

- le disque actif (CAV)

Pour les standards de télévision européen PAL, ou français SECAM (25 images/seconde contre 30 images/seconde pour l'américain NTSC), la vitesse de rotation du disque est de 1 500 tours par minute. Cette vitesse est constante (CAV = vitesse angulaire constante), une rotation correspondant à une image.

Ce disque peut contenir jusqu'à 54 000 images par face, soit 36' d'enregistrement. Il est dit « actif » à cause de sa grande souplesse d'utilisation : il offre les fonctions d'arrêt sur image, de marche avant ou arrière à vitesse normale, en accéléré ou au ralenti, d'accès immédiat à n'importe quelle image (numérotée au moment de l'écriture). C'est le type de vidéodisque qui permet le plus d'interactivité.

- le disque « longue durée » (CLV)

Pour le marché grand public, le temps d'enregistrement du disque actif, 1 h 12', est trop court, la durée standard d'un film étant de 1 h 30'. C'est pourquoi le disque « longue durée » a été mis au point. On enregistre une image par tour au centre du disque et on en augmente le nombre au fur et à mesure qu'on s'éloigne du centre pour parvenir à trois images à la périphérie. La vitesse de rotation varie de 1500 tours/minute au départ, vers le centre, à 500 tours/minute à la fin du programme. Ces disques sont dits à vitesse linéaire constante (CLV) car le système de lecture voit défiler un nombre constant d'images par cm de piste parcouru.

Leur inconvénient est qu'ils ne permettent aucune intervention. Ils constituent le niveau 0 de l'interactivité : marche, arrêt. Le vidéolecteur n'est qu'un « tourne-film ». Un lecteur grand public, avec les fonctions de ralenti, accéléré, marche avant, marche arrière, arrêt sur image, accès automatique à une image, utilisées par télécommande manuelle, en constituerait le niveau l 2.

Mais c'est avec le couplage de la vidéo et de l'informatique que l'on peut réellement parler d'interactivité.

A un niveau 2, de configuration légère, on utilise un lecteur de vidéodisque professionnel, muni d'un microprocesseur interne programmable. Soit le programme est contenu dans le vidéodisque lui-même, soit il est stocké sur une cartouche dont on charge le vidéolecteur, ce qui offre la faculté de le modifier.

Enfin, au niveau 3 de l'interactivité, le vidéodisque est conçu comme un périphérique à images pour ordinateur. Ce dernier va rendre possible le dialogue entre l'utilisateur et le vidéodisque, sur un mode qui dépend de l'interface homme-machine dont est doté le système : clavier, souris, écran tactile, etc.

Le marché grand public du vidéodisque (films, jeux, cuisine, bricolage) est encore incertain, mais le marché professionnel et institutionnel semble plus solide et son usage varié : enseignement et formation, maintenance de systèmes complexes, vidéo-catalogues, aide à la vente, information du public, tourisme.

Après cette présentation générale des caractéristiques techniques du vidéodisque, ses applications dans le domaine de la documentation ont été abordées.

Le stockage de l'image fixe

Isabelle Giannattasio, responsable du projet vidéodisque à la BPI, a établi une comparaison entre les divers supports d'archivage de l'image fixe. Elle a d'abord évoqué les contraintes liées aux fonds d'images : la nécessité d'éviter la « rupture de charge » que constitue le fait d'exprimer une image par des mots, l'importance considérable du nombre de documents à traiter, l'impératif de conservation pour des pièces fragiles qui s'abîment à chaque fois qu'on les manipule.

La première tâche sera donc de créer une collection de consultation, aussi conforme que possible à la collection originale, de mise à jour rapide et facile à visionner.

La question de sa diffusion, de son coût et de la longévité du support choisi doit être également envisagée.

C'est en fonction de ces différents critères qu'Isabelle Giannattasio a évalué les avantages et les inconvénients des microformes, du vidéodisque et du disque optique numérique pour le stockage de l'image fixe. Sans s'attarder sur les microformes, les mieux connus, on retiendra de son exposé les principales qualités du vidéodisque qui sont son énorme capacité de stockage, 108 000 images pour deux faces, son inaltérabilité et la facilité de visionnement et d'accès, manuel ou informatique, qu'il offre.

Il ne permet pas de mise à jour (encore qu'il existe aujourd'hui des disques inscriptibles). Mais son autre atout est qu'il est éditable, facile à diffuser puisque pressé en de nombreux exemplaires.

La technique du disque optique numérique a été mise au point pour l'archivage des textes. Elle n'en est qu'au stade expérimental pour l'image. Sa capacité de stockage n'est pas comparable à celle du vidéodisque : entre 1000 et 5 000 images couleur par face (suivant la finesse de définition). Le temps d'affichage de l'image à l'écran est lent et il n'y a pas la même souplesse de consultation. En revanche on obtient, grâce à la numérisation, une qualité d'image supérieure à celle de la vidéo.

Le disque optique numérique est inscriptible. Il est donc facile à actualiser. Les images peuvent être enregistrées au fur et à mesure de leur entrée dans le fonds. Il n'est pas (encore) effaçable et tout ajout correspond à une augmentation du volume de la base.

Il ne peut pas être reproduit en de multiples exemplaires, contrairement au vidéodisque. Mais la numérisation des images permet leur diffusion par transmission à distance.

En ce qui concerne les coûts, ceux du vidéodisque ont pu être estimés entre 6 F et 30 F l'image, ceux du DON sont encore plus difficiles à chiffrer.

Le matériel de saisie des images (numériseur, mémoire-tampon, lecteur enregistreur, écran de contrôle) est d'environ 1 MF, l'écran de consultation haute définition, de 150 000 F. Mais il n'y a pas de normalisation entre constructeurs. C'est donc toujours un pari de choisir tel ou tel, au risque de le voir disparaître du marché.

Quant à la longévité de ces deux supports, elle est incertaine et le manque d'expérience ne permet pas de la garantir au-delà de 10 ans pour le moment.

A l'heure actuelle, on choisira la technologie de report la mieux appropriée au type de collection que l'on doit traiter et à la diffusion que l'on souhaite en faire, sans négliger que l'évolution de ces supports dépend plus du marché que de la technologie. Le secteur institutionnel dépend du développement du secteur grand public et l'archivage des images dépend du marché de l'archivage des textes.

La fabrication du vidéodisque

Thérèse Van de Wiele, du groupe vidéodisque de l'INRP, a tiré de son expérience avec « Basilic 3 » un certain nombre d'enseignements qu'elle a rappelés dans sa présentation de la chaîne de fabrication d'un vidéodisque : tout d'abord l'importance de l'étape de la conception du produit; les possibilités de choix entre deux filières, électronique (directe) ou bien chimique (report intermédiaire sur un film 35 mm), pour transférer les documents sur une bande vidéo un pouce; le soin très minutieux qui doit être apporté à l'étalonnage. La production d'un vidéodisque passe ensuite par la fabrication d'un disque de verre qui sert d'épreuve de contrôle, puis d'une matrice, enfin par le pressage en série, dont il faut savoir qu'il n'existe pas d'usine en France, mais qu'il faut s'adresser à Philips ou Berthelsman.

Thérèse Van de Wiele estime à 10 F le prix moyen pour une vue reportée à l'identique. Les coûts peuvent atteindre 25 à 30 F lorsqu'il y a des recadrages ou des prises de vue de détails. Ils ne tiennent pas compte d'une éventuelle campagne photographique et surtout des coûts humains correspondant au travail de sélection des documents et d'organisation de la base, qui peuvent être très importants.

Les logiciels de pilotage

Sandra Sino, informaticienne à la BPI, a abordé ensuite la question des logiciels d'exploitation des vidéodisques en la replaçant dans une problématique d'ensemble. Faut-il concevoir des langages d'interrogation spécifiques de l'image ? Quel peut être à l'inverse, l'apport de l'image à la consultation documentaire ? L'image peut s'intégrer au dialogue interactif et fonctionner comme un élément de choix. Dans certains logiciels écrits spécialement pour le vidéodisque, certaines fonctions de choix se font à partir de rondes d'images.

Puis Sandra Sino a dressé le panorama des différentes configurations informatiques possibles et fait le point sur les deux types de logiciels de pilotage d'un vidéodisque disponibles sur le marché :
- les logiciels documentaires, souvent des logiciels déjà existants, Mistral, Questel, auxquels on a ajouté une interface vidéodisque. Ils permettent une recherche par mots-clés;
- les logiciels arborescents, généralement conçus pour le vidéodisque dans une configuration avec micro-ordinateur. Le système informatique propose des menus successifs dans lesquels l'utilisateur fait son choix.

Deux types d'accès sont ainsi prévus à la BPI : un accès documentaire, d'une part, puisqu'un certain nombre de points de consultation seront reliés au catalogue matières multimédias lorsqu'il sera en ligne; d'autre part des systèmes arborescents sont à l'étude pour un autre genre de pratique, plus ludique, « de dérive et de loisir » selon les mots de Michel Melot.

Diffuser d'abord

Christiane Baryla, conservateur à la Bibliothèque Sainte-Geneviève, est intervenue à son tour en soulignant la véritable révolution qu'opère le vidéodisque pour les fonds d'images. Alors que les cadences de description des images sont très lentes (de 30 à 50 fiches par jour), la saisie des documents eux-mêmes peut atteindre 400 à 500 par jour.

Il est donc possible aujourd'hui, pour accélérer le traitement et la communication des images, d'inverser le processus et de commencer par stocker et diffuser avant de cataloguer. Le travail de description et d'indexation s'en trouvera simplifié car le vidéodisque offre plus de facilités de manipulation qu'un traitement manuel.

En matière de communication des collections, il permet de rassembler d'énormes corpus parfois dispersés, et de mettre au jour des ressources souvent cachées. Il autorise surtout un contact direct avec le document. Or aucune description textuelle ne remplace les images et il est précieux pour l'utilisateur de pouvoir les feuilleter à sa guise. En mode de recherche documentaire, il autorise toutes sortes de niveaux d'accès, du « grand public » au chercheur, puisqu'il peut être lié à plusieurs systèmes de classification et d'interrogation.

De même que, dans l'édition, les coûts varient entre un manuel et un livre d'art, le prix de revient du vidéodisque dépend du type de produit, du simple fichier visuel à un disque d'art. Une solution économique et rationnelle peut consister à faire un archivage massif, un catalogue le plus complet possible du fonds, sur un premier disque, et à concevoir ensuite d'autres disques, plus ciblés, en sélectionnant des images et en les organisant de façon plus élaborée.

Le principal obstacle au démarrage d'une opération est souvent la peur d'engloutir de l'argent sans aucun résultat. Mais quand on entreprend un vidéodisque, même si l'on est obligé de s'arrêter en cours de route, pour une raison ou une autre, on a toujours obtenu un résultat : soit la réalisation d'une campagne photographique, soit un film 35 mm, que l'on peut garder en attendant un nouveau financement, par exemple ; s'il est difficile de mettre sur pied un système entièrement automatisé de pilotage, on peut très bien offrir à son public la consultation du vidéodisque par le biais d'une télécommande et d'un catalogue sur papier. Pour Christiane Baryla, ce n'est donc jamais tout ou rien.

Après ces différentes interventions, une table ronde a réuni une douzaine de responsables de projets de banques d'images.

Réalisations et projets

Denis Bruckman, de la Bibliothèque nationale, a insisté sur les besoins d'information à propos de l'image. C'est dans cet objectif que le Département des Estampes et de la Photographie a développé un projet de base de données concernant ses collections, présentée à l'exposition « L'Image laser 86 ».

L'information doit s'appuyer sur un système catalographique, issu de l'ISBD Non Book Materials, qui comporte une douzaine de critères : auteur, éditeur, imprimeur, collectionneur, technique, format, etc.

Le vocabulaire d'indexation retenu est celui de la Liste autorité matières encyclopédique et hiérarchisée (LAMECH), pour son aspect général et multimédias.

Pour le moment, la base bibliographique contient la description de 3000 images. Implantée sur le SUNIST, elle constitue une maquette expérimentale, couplée à un premier vidéodisque. Un autre vidéodisque est prévu sur la Révolution française, qui comporterait une face animée et une face d'images fixes.

Mais il n'est pas dans les projets de la BN de transférer sur vidéodisque tous les documents qui seront traités dans la base. L'accès à l'image sera toutefois toujours possible sur cliché ou micro-forme.

Serge Cacaly a présenté des productions de vidéodisque soutenues par la DBMIST : les miniatures de Sainte-Geneviève, l'imagerie médicale à la Pitié-Salpétrière, l'archéologie grecque (interfacée à une base de données documentaire préexistante). Un autre est en projet avec le Museum d'histoire naturelle concernant les vélins du Museum.

Une banque d'images est en cours de constitution sur les acquisitions d'oeuvres d'art contemporain par l'Etat, ou avec sa participation, depuis 1906. Un vidéodisque de 15 000 images en provenance du Musée d'Art Moderne, des Fonds national et régionaux d'art contemporain, couvrant la période 1981-1986, sera prêt en octobre 1986.

A la Documentation française, un vidéodisque a été réalisé en 1984, pour illustrer la banque de données textuelles Iconos qui recense les collections photographiques en France. Puisqu'il existait déjà des mots-clés, l'idée était de regrouper les « images-clés », significatives de ces collections.

Une première maquette a donc été faite avec des documents représentant 50 collections. Le projet est de poursuivre ce travail avec l'ensemble de la banque (1 200 collections).

Les différentes applications du vidéodisque ont tour à tour été évoquées : la documentation « grand public » à l'Institut du Monde arabe; la conservation du patrimoine, aux Archives photographiques de Saint-Cyr (le fonds Atget a été le premier, en 1985, à faire l'objet d'un transfert sur vidéodisque) ; l'accès à l'image pour une importante banque de données (plus de 100 000 références) qui fonctionne en réseau, URBAMET, de l'Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région d'Ile-de-France.

A la Médiathèque de la Villette, comme l'a expliqué Maud Levillain, tous les documents audiovisuels, bandes son, films ou images fixes, sont transférés sur vidéodisque (300 faces ont déjà été pressées), et ces disques sont gérés par un juke-box selon un processus totalement automatisé.

Les utilisateurs en trouveront les références dans un catalogue multimédias en ligne (les audio-visuels seront consultables à l'automne 1986) et pourront les visionner aux consoles câblées au robot central et installées dans les espaces thématiques.

Michel Melot, directeur de la BPI, a évoqué la question de la commercialisation des vidéodisques qui y sont produits. La bibliothèque ne détient pas les droits de reproduction de la majeure partie de ses collections. La législation du droit d'auteur ne permet donc que leur consultation. En revanche, la reproduction des documents iconographiques, dont les droits appartiennent en propre à la bibliothèque, est possible. C'est pourquoi un vidéodisque de 10 000 images, dont la BPI a acquis les droits, sera commercialisé.

Disque optique numérique à Orsay

Au Musée d'Orsay, une « galerie des dates » doit permettre de situer l'ensemble des oeuvres dans leur cadre historique, de 1848 à 1914. A partir d'une banque d'images (un vidéodisque de 15 000 documents), des séquences historiques seront proposées aux visiteurs (environ 1 000 scénarios) par l'intermédiaire de bornes interactives : le vidéodisque image, un vidéodisque sur lequel 16 heures de son seront stockées, un micro-ordinateur et un écran tactile.

Par ailleurs, une base documentaire, associant texte et image, doit être créée sur disque optique numérique, comprenant en particulier les collections photographiques, trop fragiles pour être exposées, et les œuvres de cette période qui ne sont pas conservées en France. Elle sera interrogeable à la fois dans l'espace grand public, sur le « plateau des jeunes » et dans une salle réservée à la recherche et à la documentation. Le disque optique numérique a été choisi pour la qualité de reproduction de l'image numérique et pour la commodité et la rapidité de mise à jour de la base.

Pour conclure ce trop bref tour d'horizon, on notera que la multiplicité et la variété de ces différentes applications documentaires du vidéodique démontrent à quel point le secteur institutionnel et culturel paraît porteur, en France, dans le domaine encore très neuf des mémoires optiques.

  1. (retour)↑  Les Actes de la journée sont édités par la BPI : Le vidéodisque, mémoire d'images, Dossier technique. En plus des communications, il comporte des annexes, comme l'exemple du cahier des charges de la BPI, et une bibliographie.
  2. (retour)↑  Cette hiérarchie a été définie par un groupe de chercheurs de l'université du Nebraska et est utilisée par tous les professionnels du vidéodisque.
  3. (retour)↑  Basilic (Base d'images à lecture interactive) réalisé en 1984 par l'INRP.