Chronique des bibliothèques

Bibliothèque nationale.

Exposition Brassaï

Une exposition en hommage à Brassaï s'est ouverte le 6 mai 1963 à la Bibliothèque nationale 1.

Elle offre au public une rétrospective de l'œuvre de ce maître de la photographie qui doit avoir sa place dans le Musée de la Photographie que la Bibliothèque nationale s'attache à constituer.

Venu de Transylvanie à Paris en 1923, Brassaï se mêla aux artistes et aux poètes de Montparnasse et de Montmartre. Il se lia particulièrement avec le groupe des surréalistes avec lequel il collabora pour la revue Minotaure.

Le succès en 1933 de son ouvrage Paris de Nuit marqua le début de sa carrière de « reporter » de la vie quotidienne et des visages particuliers, méconnus à force d'être trop vus. Témoin impartial - il constate, ne juge pas - il redonne cependant à chacun une vérité.

Ses portraits, ses photographies de lieux, de scènes, de rues, d'animaux, de graffiti, sont autant de preuves de son originalité et de sa parfaite technique.

Brassaï a offert toute l'efficacité et la gentillesse de son concours à la réalisation de cette exposition.

Exposition Delacroix

Dans la galerie Mansard a été présenté en mai un ensemble d'estampes sous le titre de : Delacroix et l'estampe romantique. Cette exposition fait partie des manifestations qui commémorent le centenaire du Maître. Delacroix n'ayant que peu gravé, son œuvre, souvent excellente, comprend un certain nombre d'essais et de redites, au point qu'il était impossible d'en montrer les 131 numéros; aussi MM. Adhémar et Lethève ont-ils jugé bon de placer au centre de l'exposition une trentaine de pièces de Delacroix (Faust, Hamlet, Macbeth, Gœtz de Berlichingen, Cheval sauvage, eaux-fortes), et de les entourer d'une centaine de lithographies ou d'eaux-fortes romantiques, œuvres de maîtres et de petits maîtres, qui montrent mieux le génie de Delacroix mais aussi le talent de ses contemporains graveurs, illustrateurs d'œuvres romantiques contemporaines, amis des littérateurs. Une section a montré les gravures de style romantique bourgeois qui ont eu du succès ; une autre a évoqué la bataille romantique, grâce à des pièces souvent inconnues.

Le catalogue 2 est illustré de cinquante photographies qui fournissent une iconographie en grande partie inédite.

Bibliothèques universitaires.

Bibliothèque littéraire Jacques Doucet

L'exposition de manuscrits de René Char et de lithographies, pour la plupart inédites, de Georges Braque, inaugurée à la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet par le Recteur de l'Université de Paris, retrace les étapes de l'amitié du peintre et du poète : rencontres dans le Vaucluse, à Varengeville, à Paris, rue du Douanier, rappelées par des dessins, des autographes, des photographies, mais aussi accords d'inspiration qui s'affirment à travers les illustrations du Soleil des eaux, de la Bibliothèque est en feu et à travers des textes de René Char comme : Georges Braque intra muros ou Sous la verrière.

L'édition de la troisième version de Lettera amorosa, comportant vingt-sept lithographies originales en couleurs, présentées pour la première fois au public, résulte des affinités profondes dont cette exposition s'est efforcée de réunir les témoignages. Sans cette harmonie, la longue élaboration d'un volume qui se veut illustré, au vrai sens du terme, aurait été impossible. Le travail de quatre années se découvre à travers les états successifs des maquettes et des planches. « Lettera amorosa, conclut Georges Blin, dans sa substantielle préface au catalogue 3, ne pourrait être mieux constatée « en tout comme en fragments », mieux justifiée que par le peintre auquel Apollinaire avait dès longtemps destiné, fût-ce avec une autre nuance, le nom de « vérificateur ». Ainsi « adopté par l'ouvert », devenu « un vivant de l'espace », le poème n'atteint pas seulement, pour citer un autre très beau mot de Char, sa « province de sécurité », il est exaucé ».

Brest (Finistère).

Bibliothèque des collèges universitaires. - Le nombre important d'étudiants que le Finistère envoie chaque année à Rennes rendait particulièrement opportune la création à Brest d'un Collège scientifique et d'un Collège littéraire. Cet effort consenti par les Facultés pour aller au-devant de leurs étudiants a eu pour conséquence un effort parallèle de la Bibliothèque universitaire de Rennes, qui a créé une Section de Brest destinée à ces nouveaux lecteurs. Cette Section s'appelle la Bibliothèque des Collèges universitaires de Brest, dont l'adresse est au Collège scientifique, Plateau du Bouguen. L'ensemble du centre universitaire de Brest sera édifié sur ce plateau.

La création rapide de la Bibliothèque n'a été possible que grâce aux concours qui l'avaient préparée depuis plusieurs années : celui du Service technique qui procédait lui-même à la constitution du fonds de livres et avait aussitôt fixé les règles générales de fonctionnement, celui de Mlle Dourver, bibliothécaire de la ville de Brest, qui assumait avec compétence la charge de cette nouvelle forme de service public et apportait aux Collèges universitaires l'appui de ses conseils en ce domaine.

Pour satisfaire en temps voulu les besoins des lecteurs, il était nécessaire d'accepter à titre exceptionnel que le premier bâtiment du programme fût édifié avec le Collège scientifique et dans le même ensemble architectural. C'est pour cette raison que la Bibliothèque occupe une partie du rez-de-chaussée de ce Collège, mais sa construction a été financée par les crédits de la Direction des bibliothèques, et sa situation matérielle ne modifie en rien les règles normales d'administration. Mieux encore, le second bâtiment qui est prévu pour la compléter dans le cadre du même campus universitaire sera, d'après le plan-masse actuel, situé entre les deux Collèges, dans une position à la fois indépendante et jouissant des avantages de cette double proximité.

En attendant que ces perspectives d'avenir puissent se réaliser, le bâtiment actuel offre déjà de larges possibilités. C'est le Ier décembre 1962 qu'il a été ouvert aux étudiants. Une salle de lecture de 72 places, équipée d'ouvrages usuels classés suivant la C.D.U., est complétée par une salle des périodiques de 16 places, où des meubles spécialement étudiés en tenant compte des souhaits des professeurs permettront de classer un grand nombre de revues. Cet ensemble très confortable bénéficie, des deux côtés, d'un éclairage naturel que la situation dégagée sur le Plateau du Bouguen rend encore plus efficace.

Dijon (Côte-d'Or).

A l'occasion du 150e anniversaire de la naissance de Søren Kierkegaard, une cérémonie commémorative fut organisée, le 4 mai, par la Faculté des lettres de Dijon sous la haute présidence de Mr le Recteur Bouchard et de Mr Hermannsen, conseiller d'Ambassade, chargé des Affaires culturelles et de presse à l'Ambassade de Danemark.

S'associant à cette manifestation, la Bibliothèque universitaire avait réalisé, dans une des salles - encore inoccupée - de la nouvelle bibliothèque de Montmuzard, une exposition rappelant la vie et l'œuvre du grand penseur danois. Elle fut inaugurée à l'issue de la cérémonie du 4 mai.

Sur l'un des murs de la salle étaient exposées de grandes photocopies reproduisant, entre autres, plusieurs portraits de Kierkegaard et celui de Régine Olsen.

D'autres photocopies envoyées, comme les précédentes, par l'Ambassade de Danemark, illustraient les différentes vitrines : autographes, portraits, caricatures, images du cadre de vie, etc.

Après une évocation de la vie du philosophe, c'est l'œuvre qui était présentée par ses traductions françaises. Certaines d'entre elles, actuellement épuisées, avaient été prétées par Mr Jean Brun, maître de conférences à la Faculté des lettres de Dijon. L'une des vitrines était réservée aux seules traductions de Mr P. J. Tisseau qui a traduit la plus grande partie de l'œuvre de Kierkegaard et qui honorait de sa présence cette inauguration.

Un autre groupe de vitrines était consacré aux études, en toutes langues, sur Kierkegaard et sur son œuvre. En dernier lieu étaient exposées certaines oeuvres typiques témoignant de l'influence de la pensée de Kierkegaard sur K. Jaspers, M. Heidegger, G. Marcel et J.-P. Sartre.

De nombreux exemplaires d'une brochure sur Kierkegaard, aimablement offerts par l'Ambassade de Danemark, étaient à la disposition des visiteurs.

Bibliothèques municipales.

Bordeaux (Gironde).

Une exposition du livre espagnol contemporain a été inaugurée dans la salle d'exposition de la Bibliothèque municipale le 24 mai 1963.

Cette exposition organisée par les services officiels espagnols groupe plus de trois mille volumes représentatifs des différentes tendances de l'édition contemporaine en Espagne. La Bibliothèque municipale a participé à cette manifestation par la présentation d'ouvrages anciens imprimés en Espagne. L'exposition est restée ouverte jusqu'au 4 juin.

Chambéry (Savoie).

Du 30 avril au 5 mai, le Musée des Beaux-Arts de Chambéry exposait un choix de dessins en fac-similés : « Le Dessin français de Coulet à Daumier. »

La Bibliothèque municipale est installée dans le même bâtiment, au premier étage. Des livres d'art furent mis à la disposition du public dans la salle de lecture, pendant la durée de l'exposition du Musée. Au nombre de 40, ils avaient été prêtés en partie par la Bibliothèque municipale de Grenoble (26 ouvrages) et par la Bibliothèque municipale de Tours (5 ouvrages).

Dijon (Côte-d'Or).

Mr l'Inspecteur général Masson a inauguré le 10 mai 1963 la nouvelle salle de la section enfantine en présence de Mr l'adjoint délégué à l'Instruction publique, de représentants du Conseil municipal et des membres du Comité de la Bibliothèque. Très à l'étroit dans l'ancien collège des Jésuites qu'elle partageait avec la Faculté de droit et une école primaire, la Bibliothèque municipale de Dijon n'avait pu jusqu'à présent attribuer aucune salle à la jeunesse. Seuls des « coins des enfants » avaient été aménagés dans l'ancienne bibliothèque populaire dès son rattachement administratif en 1959, puis dans la nouvelle bibliothèque de prêt installée en 196I dans l'immeuble contigu à l'ancien collège.

Le transfert de la Faculté de droit dans un nouveau bâtiment du « campus » universitaire a permis à la Bibliothèque de s'étendre et l'installation d'une salle pour les enfants est la première étape du nouvel aménagement de l'édifice que la Bibliothèque doit peu à peu occuper entièrement.

Laon (Aisne).

A l'occasion de conférences sur la pré-réforme, prononcées à Laon par Mr le Pasteur Henri Bosc, de la Société d'Histoire du protestantisme français, la Bibliothèque de Laon a présenté du 28 avril au 5 mai une exposition « Humanisme et pré-réforme ». Les nombreux visiteurs ont pu admirer des livres précieux imprimés entre 1480 et 1540 soit en France soit à l'étranger : œuvres maîtresses de Ficin, Budé, Erasme, Clichtove, Lefevre d'Étaples, etc... de nombreux plans et bois illustraient les vitrines.

Limoges (Haute-Vienne).

La section limousine de l'Association France-Grande-Bretagne, en collaboration avec le « British Council » a organisé dans la galerie de la Bibliothèque municipale, du 4 au 3 1 mai, une exposition de livres anglais pour les enfants.

Cette exposition a été inaugurée sous la présidence de Miss Hammond, bibliothécaire au « British Council », et des personnalités locales. Ces ouvrages comprenaient des documentaires, des romans et des contes. Ce choix de livres était particulièrement représentatif de la littérature anglaise pour enfants, comme l'a fait remarquer Mr David Mitchell, consul de Grande-Bretagne, lors de sa visite de l'exposition.

La Bibliothèque municipale a retenu plusieurs titres qui lui permettront d'enrichir son rayon de livres en anglais pour les enfants et adolescents.

Orléans (Loiret).

A l'occasion de la venue, pour les fêtes de Jeanne d'Arc, du Premier ministre et du Ministre de la construction, la ville d'Orléans a organisé, du 7 au 18 mai 1963, dans les locaux de la Bibliothèque municipale, une exposition sur l'expansion d'Orléans : les projets et les chantiers d'urbanisme.

Comme beaucoup de villes françaises, Orléans connaît aujourd'hui un développement rapide - l'agglomération s'est accrue de 23 % entre 1954 et 1962 - ce qui nécessite un gros effort en matière de logements et en même temps un renouvellement presque complet de l'équipement administratif et culturel devenu insuffisant et inadapté.

A côté de diverses opérations immobilières, dont notamment celles de la Z.U.P. du nord-est, une place particulière était accordée au « quartier de la gare » où la construction de 2 ooo logements va s'accompagner de celle d'un centre commercial et d'un centre social, d'un groupe scolaire, d'une petite église, d'un nouveau théâtre, d'un musée des sciences naturelles, d'une cité administrative, d'un palais des sports et d'une caserne de pompiers.

Il est évidemment dommage qu'au milieu de ces réalisations d'une grande ampleur, seule une petite bibliothèque de prêt vienne prendre place et qu'il ne puisse s'y construire une véritable bibliothèque de quartier, voire une nouvelle bibliothèque municipale, cette partie de la ville devenant de plus en plus centrale.

Le projet de rénovation du plus ancien quartier d'Orléans, aujourd'hui zône de taudis, mais comprenant nombre de maisons dignes d'être restaurées, pose un problème commun à bien des villes au passé chargé d'histoire. La solution proposée, qui s'efforce de conserver au maximum l'aspect ancien, risque de paraître encore trop destructrice à certains.

Mais l'accent était surtout mis sur les projets du domaine de la Source, à 6 km au sud-est d'Orléans; campus universitaire et ville satellite de 35 000 habitants en symbiose avec lui, le but étant à la fois de créer une Université dans la verdure et ne de pas isoler les étudiants de la vie de la cité.

Des plans et maquettes, réalisés par les architectes Arretche et Cacoub, auteurs de ces projets, permettaient de saisir de quelle façon une large ouverture de la ville et de l'Université, l'une sur l'autre, est envisagée. Sur le campus sont prévus une Faculté des sciences, une Faculté de droit et un Collège littéraire, avec les bibliothèques correspondantes, ainsi que des laboratoires du C.N.R.S. Des centres d'activité culturelle, ouverts aux habitants d' « Orléans II » seront créés et le logement d'une partie des étudiants se situera dans la ville.

Cependant certains de ceux-ci, venus visiter l'exposition, estiment qu'il s'agit encore trop d'une juxtaposition et souhaitent une fusion plus nette. Il y a sans aucun doute dans ce projet de la Source, conçu à partir d'un terrain vierge, un champ d'expérience qui peut se révéler extrêmement fécond en enseignements, si la réalisation s'en effectue sans entraves.

Tours (Indre-et-Loire).

Exposition « Touraine 1975 ». - Le 20 avril 1963 était inaugurée à la Bibliothèque municipale de Tours l'exposition « Touraine 1975 » ouverte gratuitement au public jusqu'au 12 mai.

Cette exposition formait la partie centrale de l'opération de sensibilisation de l'opinion publique aux objectifs du IVe plan et du plan régional, décidée par le Comité d'orientation économique d'Indre-et-Loire. Mr Fillet, conservateur de la Bibliothèque municipale, était chargé par le Comité de diriger l'ensemble de l'opération.

Photos, graphiques, maquettes, appareils électroniques, projections offraient un voyage dans le temps et, montrant l'ampleur des transformations d'ici 1975, donnaient une vision claire des efforts à accomplir, tout en faisant comprendre aux Tourangeaux que ces perspectives les concernent tous et qu'ils doivent coordonner leurs efforts pour les réaliser.

Les jeunes, principaux intéressés, pouvaient participer au concours photographique « La Touraine face au progrès » dont les meilleures photos figurèrent à l'exposition.

Des expositions itinérantes, réalisées à partir de celle de Tours, seront organisées à Amboise, Chateaurenault, Chinon et Loches.

L'ensemble de cette manifestation fera l'objet d'un article dans un prochain Bulletin.

Bibliothèque de l'École normale supérieure de Saint-Cloud.

La Bibliothèque de l'École normale supérieure de Saint-Cloud a reçu en don une partie des livres russes de la bibliothèque de Mr l'inspecteur général François Pidoux (1893-1961), ancien élève (promotion 1912) puis chargé de conférence à l'École normale supérieure de Saint-Cloud.

Parmi les quelque trois cents volumes on notera des collections des œuvres de Herzen, de Blok, d'Ostrovski, le Dictionnaire de la langue russe littéraire contemporaine, le Dictionnaire de la langue de Pouchkine et de nombreux volumes de la collection L'Héritage littéraire.

Bibliothèques municipales de la Seine.

Neuilly-sur-Seine.

La Bibliothèque municipale de Neuilly-sur-Seine a ouvert une nouvelle salle de prêt. Celle-ci permet de disposer d'un métrage de rayons supérieur à celui qu'offrait l'ancien département et d'installer, à la place de ce dernier, des bureaux, une salle de catalogage et de réparation, un vestiaire et les réserves courantes.

La nouvelle salle comporte des rayonnages en bois clair, ce matériau étant apparu plus chaud, plus « humain ». Un vaste bureau de prêt aux faces extérieures en polyster « érable », à échéancier incorporé, développant deux côtés de 2,40 m et une façade de 3 m disposée perpendiculairement à la porte, permet un contrôle rapide des rentrées et des sorties ainsi que les inscriptions. Cette rapidité se conjugue avec une extrême fluidité de circulation du public, due au large espace réservé entre les rayonnages et à la séparation de ceux qui sont placés au centre de la pièce, en éléments de 2,40 m seulement de long.

Les murs sont peints respectivement en jaune, bleu, gris et mauve. Des rideaux et cantonnières « habillent » les fenêtres avec un tissu dont les impressions rappellent les teintes des murs.

Un paysage du peintre neuilléen Ardenne, des gravures du Vieux Neuilly, un plan en couleurs datant de 1814 et des assiettes spécialement fabriquées, à la fin du XIXe siècle, pour la Fête des écoles de la ville, apportent des notes polychromes que complètent des fleurs renouvelées, chaque semaine, dans un vase de verre posé à l'angle du bureau de prêt.

L'éclairage, à la fois puissant et doux, est assuré par 16 tubes fluorescents, sous diffuseurs.

L'extension de la Bibliothèque et le fait que le directeur de la Maison des jeunes et de la culture, installée dans le même immeuble, soit sous le contrôle du bibliothécaire, ont justifié la mise en service d'un réseau d'interphones.

Pour inaugurer la salle de prêt que nous venons d'évoquer, un cocktail y réunit, le 12 mars, Mr Achille Péretti, député-maire de Neuilly, Mr Massiani, conseiller général, une partie du Conseil municipal, le général Monclar, gouverneur des Invalides, Mme Larue, inspectrice générale des bibliothèques de la Seine, Mr Girard, administrateur au District, Mr Henriot Marty, président de l'A.B.F., Mr de La Potterie, président de l'Association des documentalistes et bibliothécaires spécialisés, Mlle Lebègue, administratrice du Bureau du livre au Ministère de la coopération, des personnalités locales, Mr Pierre Coulomb, bibliothécaire municipal et le personnel de la bibliothèque.

  1. (retour)↑  Bibliothèque nationale. Paris. - Brassai [Catalogue réd. par M.-F. Brouillet sous la dir. de Jean Adhémar. Préf. par Julien Cain. Brassai et la nuit par Jean Adhémar. Brassaï par Alix Gambier]. - Paris, Bibliothèque nationale, 1963. - 27 cm, 27 f. multigr.
  2. (retour)↑  Bibliothèque nationale. Paris. - Delacroix et la gravure romantique. [Catalogue par Jacques Lethève et Jean Adhémar. Préf. par Julien Cain. Av.-pr. par Jean Adhémar.] - Paris, Bibliothèque nationale, 1963. - 20,5 cm, [46 p.,] ill., portr. sur la couv.
  3. (retour)↑  Bibliothèque littéraire Jacques Doucet. Paris. - Georges Braque, René Char. Manuscrits, livres, documents, estampes. Av.-pr. de Georges Blin [Catalogue réd. par François Chapon et réalisé par Edwin Engelberts]. - Paris, impr. Union, 1963. - 27 cm, 58 p. ill.