Cet ouvrage collectif, sous la direction d’Anaïs Theviot, est à la croisée de la sociologie économique, du droit, des sciences politiques et de l’informatique. À travers une série d’études et d’enquêtes, il pose les bases d’une sociologie politique du numérique visant à dépasser et déconstruire les mythes et croyances véhiculés par le big data.