Chronique des bibliothèques

Bibliothèques d'université

Bibliothèque de l'Université de Nice. Section lettres et sciences humaines

Exposition autrichienne « Les Années de ténèbres : le mouvement de résistance autrichien. 1938-1945 » (19-27 mars 1981). - Cette exposition, présentée sous l'égide de l'Institut culturel autrichien, dans la salle des conférences de la Section lettres et sciences humaines de la Bibliothèque de l'Université de Nice, avait pour but de rappeler que le peuple autrichien, bien que le pays fût annexé par le 3e Reich allemand et considéré comme partie intégrante de l'État hitlérien, a néanmoins, grâce à l'action courageuse d'un nombre considérable d'opposants, participé à la lutte contre le nazisme. Hommage était rendu également aux exilés qui avaient dû fuir leur patrie.

Bibliothèque de l'Université de Paris-Sud

Publication. - La Bibliothèque du Centre scientique d'Orsay vient de publier le Catalogue collectif des périodiques scientifiques de Paris-Sud. Ce catalogue recense les collections possédées non seulement par la Bibliothèque de l'Université de Paris XI (Centre scientifique d'Orsay, Centre d'études pharmaceutiques et biologiques de Châtenay-Malabry, Centre hospitalier universitaire de Kremlin-Bicêtre) mais aussi d'une vingtaine de laboratoires de l'Université et du CNRS, des services de documentation du Commissariat à l'énergie atomique de Saclay et de l'École supérieure d'électricité, des bibliothèques de l'École polytechnique et de l'Institut d'optique théorique et appliquée, soit au total 32 établissements.

Réalisé selon le système AGAPE, il comprend plus de 8 000 entrées et donne la liste des participants avec, pour chacun d'eux, l'adresse précise et les conditions de consultation et de communication des documents.

Université de la Sorbonne nouvelle-Paris III. Centre Grand Palais

La Littérature italienne traduite en français. 1960-1980 (11-20 mars 1981). - Organisée par la Bibliothèque de l'UER d'italien et de roumain, l'exposition, honorée notamment de la présence du grand écrivain Leonardo Sciascia, a remporté un vif succès. Le public a pu ainsi constater que la méconnaissance de la littérature italienne contemporaine, mis à part quelques grands noms, contraste avec le nombre et la qualité des livres traduits dans ces 20 dernières années. Le catalogue de l'exposition présentait les ouvrages selon un ordre systématique, fournissant les titres et les références des éditions italiennes.

Bibliothèque de l'Université de Perpignan. Fonds spécialisé en énergie solaire

Depuis 1974, la Bibliothèque de l'Université de Perpignan a constitué un fonds spécialisé de périodiques et de documents concernant la recherche en énergie solaire et ses applications.

Cette documentation a été mise en place à la bibliothèque universitaire à la suite de la création à Perpignan d'un groupe en énergie solaire sous l'égide de l'Unesco, dirigée au départ par le Pr Bombré auquel a succédé M. Daguenet qui, outre la recherche, s'occupe également de la formation d'étudiants du tiers monde en énergie solaire.

Un financement diversifié (une subvention du Service des bibliothèques en 1978 et des aides de l'Unesco et du conseil général des Pyrénées-Orientales), a permis l'achat de collections de périodiques et d'ouvrages de base, nécessaires à la recherche et à l'enseignement dispensé.

Le fonds se présente actuellement comme suit : 19 titres de périodiques spécialisés ; une centaine de thèses portant sur l'énergie solaire stricto sensu ; une centaine de comptes rendus de congrès très importants dans ce domaine ; environ 300 extraits et tirés à part d'articles ; 700 monographies.

Le système utilisé pour automatiser ce fonds s'appelle ADDOC.

Bibliothèques municipales

Graulhet (Tarn)

Exposition : « Histoire et techniques des métiers du cuir » (avril 1981). - A l'occasion de la publication du livre de Georges Ravari : Histoire et techniques des métiers du cuir et de la peau (Éd. de Roucatel), la Bibliothèque municipale a organisé une exposition de petit matériel de mégisserie et d'outillage ancien de tannerie.

Pour compléter l'information sur cette industrie typiquement locale, des vitrines présentaient des planches de l'Encyclopédie méthodique de Diderot et d'Alembert illustrant les métiers de la peau ainsi que des ouvrages sur le travail du cuir, la pyrogravure, la maroquinerie.

Des panneaux, enfin, montraient des échantillons de peaux traitées ou décorées suivant diverses techniques employées dans la région.

Limoges (Haute-Vienne)

Exposition sur les ostensions (mai-juillet 1981). - Cette exposition fut l'occasion de rappeler aux visiteurs de la Bibliothèque l'origine et le déroulement de ces fêtes. Depuis 994, date du « Miracle des Ardents », miracle dû à l' « ostension » des reliques de saint Martial, les Limousins gardent au cœur la foi dans leurs saints. Chaque fait notoire de Limoges a été ponctué par une ostension et on en trouve la trace dans les registres consulaires de la ville. Depuis 1519, ces ostensions se déroulent tous les sept ans suivant un rituel qui a été établi, petit à petit, et qui n'a pratiquement pas varié depuis le XVIIIe siècle : la montée du drapeau des ostensions au clocher de Saint-Michel, ou la « reconnaissance des reliques »...

La Bibliothèque qui, tous les sept ans, a à cœur d'organiser une exposition sur ce thème, l'avait axé, cette fois-ci, sur deux grands saints du Limousin : saint Aurélien et saint Loup. Cela a permis de révéler au public des documents auxquels il n'a pas accès d'ordinaire ; ils avaient été aimablement prêtés par la Confrérie de Saint-Loup et la Confrérie de Saint-Aurélien (ou Confrérie des bouchers). C'est le cas des actes d'adjudication de la « ...ci-devant chapelle Saint-Aurélien, sa sacristie et ses dépendances... » aux représentants des bouchers nommés par leurs patronymes légaux et leurs surnoms ; c'est le cas également de plusieurs procès-verbaux de reconnaissance du chef de saint Aurélien. Des membres de la Confrérie des bouchers avaient également accepté de prêter les calottes ayant protégé la relique du chef entre deux ostensions, etc. De nombreuses photographies anciennes et récentes illustraient documents et livres consacrés aux ostensions ainsi qu'aux biographies de saint Aurélien et saint Loup qui furent évêques de Limoges respectivement au IVe et au VIIe siècles.

Cette exposition était accompagnée d'un catalogue où, en annexe, a été reprise la chronologie des ostensions déjà publiée dans celui de 1974 (totalement épuisé maintenant).

Exposition et catalogue ont intéressé les nombreux passionnés d'histoire et de traditions locales.

Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne)

Exposition : Naissance d'un livre (5-25 mai 1981). - Cette exposition qui partait de deux ouvrages, Trois histoires pour aller dormir de Jean-Hugues Malineau, illustré par Lise Le Cœur à l'École des Loisirs et Les Enchantements de Merlin adapté par François Johan et illustré par Raymond Monneins chez Casterman, montrait à chaque fois l'élaboration du texte et de l'image, du manuscrit à la page imprimée.

Un choix de photos évoquait la fabrication matérielle du livre (imprimerie, reliure...) du XVe siècle à nos jours.

L'exposition était complétée par un cousoir, une presse, les livres fabriqués par les enfants lors d'une animation précédente. Quelques ouvrages du XVIIe et du XIXe permettaient aux jeunes visiteurs de mesurer l'évolution de la typographie et même de la langue.

Pontivy (Morbihan)

Les Écrivains de la Bretagne centrale, de Baud à Pontivy. - Parmi les manifestations qui ont eu lieu dans le cadre de l'Année du Patrimoine, une exposition consacrée aux auteurs de Bretagne centrale a été présentée en novembre 1980 à la Bibliothèque municipale de Pontivy. Ont été retenus non seulement les écrivains au sens propre du terme, mais d'une manière générale tous les auteurs dont les écrits ont donné lieu à une quelconque publication. La circonscription retenue a été celle qui s'étend autour de Pontivy, que l'histoire a tenté d'ériger en capitale de la Bretagne centrale, allant vers le sud jusqu'à Baud et vers le nord jusqu'à Plouguernevel. Quarante auteurs, dont le trait commun est d'être nés dans cette région, ont été recensés. Deux langues se côtoient : le breton et le français, le Pays gallo, plus au nord, n'ayant pas été prospecté.

Les nombreux écrits produits dans ce microcosme donnent une image assez représentative des multiples facettes de la vie intellectuelle en un lieu soucieux de son identité culturelle et ambitieux de la faire connaître au plus haut niveau : Léon Durocher sera un chansonnier réputé de Montmartre et Joseph Loth inaugurera la chaire de langues celtiques au Collège de France. Plus près des réalités quotidiennes sont les prêtres, auteurs de psaumes et de cantiques. Les poètes tiennent une place importante, avec parmi eux la seule femme recensée (Jane Guégan) et Armand Robin le déraciné, dont l'année 1981 aura vu la réédition de plusieurs ouvrages.

Outre cette pléiade déjà impressionnante, il a été jugé bon de retenir sept auteurs qui, sans être natifs de Pontivy, y ont séjourné en donnant là une œuvre remarquée. Ainsi en fut-il d'Émile Souvestre et de plusieurs historiens locaux. Mais Alain, au séjour trop court et sans suite au Lycée de Pontivy, n'a pas été retenu.

La brochure qui a été éditée consacre une notice à chacun de ces personnages, avec un commentaire biographique et une bibliographie aussi complète que possible, principalement en ce qui concerne les auteurs peu connus. Sans doute manque-t-il cependant les coordonnées des bibliothèques où ces œuvres sont consultables. La fin du volume rassemble un choix de textes en français et en breton, où sont perceptibles les thèmes favoris de cette littérature régionale. L'ensemble est agrémenté de quatre pages d'illustrations. La couverture porte en fac-similé une chanson de Léon Durocher.

Bibliothèques centrales de prêt

Dordogne

Lire en milieu rural avec Claude Michelet. -Inaugurant un nouveau type d'animation, la Bibliothèque centrale de prêt a invité les dépositaires et les responsables de bibliothèques de l'est du département à se retrouver mercredi 10 juin à la Bibliothèque municipale de Hautefort.

En effet, jusqu'à présent, les journées de formation avaient lieu à Périgueux, au siège de la Bibliothèque, étant donné l'étendue du département, cela voulait dire 150 ou 200 km aller et retour pour certains participants. Décentraliser ces journées offre un double avantage : les rapprocher géographiquement des éventuels participants, donc faciliter leur venue ; leur montrer une bibliothèque à leur mesure, vivante et bien implantée dans la commune.

Ce n'est pas par hasard, en effet, que la Bibliothèque centrale de prêt a choisi, en accord avec la municipalité, le cadre de la Bibliothèque municipale de Hautefort pour cette journée de travail. Cette bibliothèque créée récemment dans une commune de 1 100 habitants montre que la présence du livre en milieu rural est possible grâce aux efforts de la municipalité, au dynamisme de l'équipe qui l'anime et à l'aide de la Bibliothèque centrale de prêt.

Cette journée était largement ouverte à tous les animateurs concernés par la lecture et aussi aux lecteurs de Hautefort et des environs, elle a réuni une cinquantaine de personnes. Elle eut pour objet d'engager une réflexion et de dresser un bilan sur la présence du livre en milieu rural que ce soit avec de petites bibliothèques ou des dépôts du bibliobus, de proposer un exemple d'animation réalisable dans une petite commune.

Après la présentation de la Bibliothèque municipale de Hautefort et de ses activités, la matinée était consacrée à la vie des dépôts et les participants ont pu discuter entre eux et avec le personnel de la Bibliothèque des problèmes qu'ils rencontrent tous les jours, par exemple : la gestion pratique du dépôt ; le choix des livres offerts par le bibliobus ; comment faire connaître le dépôt du bibliobus à toutes les tranches d'âge ; les conditions matérielles minima à réunir pour rendre le dépôt attrayant.

L'après-midi était consacrée au dialogue avec Claude Michelet, agriculteur et écrivain. Il ne s'agissait pas d'une conférence mais d'un débat. Les participants lui ont posé de nombreuses questions sur son métier d'écrivain, son œuvre, son métier d'agriculteur, l'avenir de l'agriculture et de la vie en milieu rural, plusieurs participants, agriculteurs et agricultrices, étaient particulièrement intéressés par cet aspect du débat.

Claude Michelet, chaleureux, a répondu à toutes ces demandes et le débat s'est élargi ensuite à la littérature en général.

Une exposition avait été organisée sur l'agriculture et la vie en milieu rural.

Hautes-Pyrénées

Exposition (29 avril-13 mai 1981). - Dans le cadre du « Mai du Livre » dans les Hautes-Pyrénées, la Bibliothèque centrale de prêt a ouvert ses locaux à une exposition de la revue Rivaginaires.

Une table ronde sur « Réel, Symbolique, Imaginaire » a été animée par le Comité de rédaction de Rivaginaires, le 13 mai après-midi.

Cette exposition regroupait des revues de poésie, des poèmes-affiches, et des compositions créées par le groupe créateur de la revue.

Plusieurs groupes scolaires ont effectué des visites commentées par les enseignants.

« Des Marionnettes dans les Hautes-Pyrénées ». - Dans le cadre de ses activités d'animation, l'Association des amis de la Bibliothèque centrale de prêt des Hautes-Pyrénées a proposé 5 après-midi récréatifs animés par le « Théâtre de la Bulle » : deux marionnettistes, Monique Briane et Patrick Lode, ont présenté leur conte Nick et la Perle Noire ou les aventures d'un petit crabe, à plusieurs écoles du département.

Le texte et les marionnettes ont été créés par les acteurs eux-mêmes, l'accompagnement musical a été fait par Éric Trappeniers et Bernard Bianne, les jeux de lumière par Jean-Claude Salanova.

Nick et la Perle Noire est l'histoire des aventures d'un jeune crabe Nick qui refuse d'obéir à la loi de Crack, le grand méchant crabe qui oblige la colonie de crabes à marcher droit. Un crabe, doit marcher de travers, la nature l'a décidé ainsi. Chassé par Crack, Nick part à la recherche de la vérité, non de sa vérité, que doit lui confier la Perle Noire. Une recherche pleine d'aventures. Il rencontrera d'abord, Artemia, la crevette, qui rêve de devenir langouste. Elle deviendra son amie. Mais avant d'arriver au bout de leurs peines, ils devront affronter Milka, le serpent, et Crack, le méchant crabe qui marche droit. Grâce à Fleur d'Orchidée et Kalao, l'oiseau multicolore, ils parviendront à déjouer tous les pièges et rencontreront la Perle Noire qui conseillera à Nick de chercher sa vérité chez lui, avec les crabes, et à Artemia d'accepter son état de crevette, sans en avoir honte.

A la fin de la représentation, Monique Briane et Patrick Lode ont expliqué aux enfants comment ils avaient réalisé le spectacle et les personnages. Ils leur ont indiqué les matériaux utilisés : polystyrène, cartons forts et souples, mousse de matelas, tissus, tiges de bois, bâtons, gouaches. Pour mieux les sensibiliser aux divers procédés de manipulation, les acteurs se sont mêlés aux écoliers avec leurs marionnettes. Ravis, les enfants ont à leur tour présenté leurs propres créations, certains même ont accepté de se placer derrière le castelet pour raconter une histoire à leurs camarades avec les marottes et marionnettes créées par eux avec le concours de leurs instituteurs.

Bibliothèque-discothèque Lancry. Paris-12e

Exposition sur le Canal Saint-Martin. - L'exposition se composait d'une vingtaine de panneaux plastifiés de 120 × 70 cm. Elle retraçait les origines des canaux de Saint-Denis, de l'Ourcq et de Saint-Martin. Les panneaux portaient ensuite sur les activités commerciales du Canal jusqu'à nos jours. Les derniers panneaux présentaient la vie quotidienne du Canal ainsi que sa présence dans la littérature et la peinture.

Les photos étaient des reproductions de documents qui provenaient principalement de la Bibliothèque historique de la Ville de Paris et du Musée de Conflans-Sainte-Honorine auxquelles s'étaient ajoutés (lors de l'exposition à Lancry) un plan original prêté par l'Institut géographique national ainsi que des documents prêtés par l'Atelier parisien d'urbanisme sur les projets d'aménagement.

Toutes les photos du canal actuel avaient été prises par une bibliothécaire de Lancry, Catherine Floc'hlay. La réalisation de l'exposition avait été entièrement prise en charge par l'équipe de la Bibliothèque.

Bibliothèque de l'Institut français du Royaume-Uni. Londres

Exposition du 70e anniversaire (21 avril-11 juin 1981). - Cette exposition retraçait l'histoire de l'Institut français à l'aide de nombreux livres, photographies et documents d'archives extraits du fonds de la Bibliothèque ou prêtés par des particuliers, la BBC et plusieurs bibliothèques londoniennes.

La création de l'Institut français remonte à 1910 quand une jeune Française, Marie d'Orliac, prit l'initiative de fonder près de « Marble Arch » une Université des lettres françaises qui présenterait au public cultivé de Londres des écrivains et des artistes français en vogue. Encouragée par l'Ambassadeur de France, M. Cambon, l'active directrice fut bientôt à la tête d'une importante organisation qui, dès octobre 1913, se constitua en association régulière, patronnée par l'Université de Lille.

Au cours de la Première guerre mondiale, devant l'afflux des réfugiés belges et français, Mlle d'Orliac, devenue Mme Bohn, ouvrit une école près de la gare de Victoria : c'est là l'origine du lycée français de Londres qui, la guerre terminée, s'installa, de même que l'Institut, en face du « Victoria and Albert Museum ».

Devant le succès grandissant de l'Institut où les artistes et les écrivains les plus célèbres venaient régulièrement faire des conférences - ainsi que l'attestaient dans l'exposition des ouvrages dédicacés par André Maurois, Darius Milhaud, Claude Farrère... - la nécessité d'un nouveau bâtiment se fit sentir. En mars 1939, Albert Lebrun, Président de la République et la Princesse Royale inauguraient le nouvel édifice de « Queensberry Place ». Après le tragique intervalle de la guerre, où les activités continuèrent au ralenti, une partie des locaux ayant été occupée par le quartier général des Forces aériennes françaises libres, l'Institut reprit son essor, après son intégration au sein de la Direction générale des affaires culturelles et techniques du Ministère des affaires étrangères.

Placé sous le patronage des Universités de Lille et de Paris, l'Institut exerce aujourd'hui ses activités dans deux domaines : les cours de français, depuis le niveau débutant jusqu'aux cours de licence ; les activités culturelles : conférences, expositions, cinéma, théâtre, opéra, complétées par une bibliothèque de 70 000 volumes.

L'inauguration de l'exposition, à laquelle assistaient l'Ambassadeur de France, M. de Margerie, et de nombreuses personnalités britanniques amies de la France, a été l'occasion de souligner le rôle joué par l'Institut français dans les relations culturelles franco-britanniques et de souhaiter qu'il continue à se développer malgré un contexte économique difficile.

  1. (retour)↑  Les informations figurant dans la partie « Chronique » constituent les textes ou ont été établies sur la base de renseignements ou de documents, transmis à la Rédaction du Bulletin des bibliothèques de France par les responsables des différents établissements.
  2. (retour)↑  Les informations figurant dans la partie « Chronique » constituent les textes ou ont été établies sur la base de renseignements ou de documents, transmis à la Rédaction du Bulletin des bibliothèques de France par les responsables des différents établissements.