Suite à de longs mois de négociations, la Société civile des éditeurs de langue française (Scelf) s’est retirée « définitivement du dossier très politique de la gestion collective des lectures à voix haute ».
Dans un communiqué, l’institution a en effet annoncé que « faute d’accord entre l’ensemble des parties quant au champ de perception de la Scelf au titre des lectures à voix haute, celle-ci a décidé de mettre un terme à la perception de ces droits à un niveau collectif ».