La SCELF (Société civile des éditeurs de langue française) est revenue sur sa décision de « percevoir les droits de représentation sur les œuvres publiées par ses adhérents, dans les cas où ces œuvres sont lues par leurs auteurs eux-mêmes, ou lorsqu’elles sont lues dans le cadre de manifestations gratuites des bibliothèques ».
La ministre de la Culture, Françoise Nyssen, qui avait fermement rappelé son attachement au principe de gratuité des lectures publiques dans le cadre des bibliothèques, s’est « félicité de cette position et de l’avancée des discussions entre les représentants des éditeurs, des auteurs et des bibliothécaires sur la question de la rémunération des lectures publiques des œuvres littéraires ».
Retrouvez plus d’informations sur la position constructive proposée par la SCELF (en accord avec les représentants des éditeurs, des auteurs et des bibliothécaires) sur le site du ministère de la Culture.