Nous sommes tous des illettrés ou l'avenir de la lecture

Michel Melot

La lecture ne se réduit pas à la stricte lecture de l'écriture alphabétique occidentale imprimée. Elle évolue avec la diversité des messages et des supports. Elle est omniprésente (affiches, logos...), multiple (annuaires, guides...), élargie à divers supports (texte sur écran, image, son...). De suivie, elle devient souvent ponctuelle, informative, " de consultation ", exigeant l'aptitude à la sélection. Le texte classique figé et définitif disparaît. L'hypertexte met en oeuvre une nouvelle organisation des idées. Les " lettrés " n'ont plus le privilège de la lecture, et si, aujourd'hui, chacun doit savoir lire, eux doivent réapprendre à le faire.

Reading does not only mean a simple deciphering of the printed Western alphabetical writing. It changes along with the various messages and media. Omnipresent (posters, logotypes...) and multiple (directories, guides...), it is now extended to many media (text on screen, image, sound...). Not steady anymore, it is now ponctual, informative, for consultation, requiring aptitude for selecting practices. The traditional text, rigid and permanent has disappeared while the new Hypertext implements a new organization of the ideas. The literate have no more the privilege of reading : while, today anyone is supposed to be able to read, they have to relearn it.

Imaginons les actes primitifs de la lecture : reconnaître une trace de pas sur le sol, prévoir le changement du temps dans la forme des nuages, ou l'avenir dans les lignes de la main. Il faut avouer que nous ne sommes plus de grands lecteurs. Nous ne lisons plus guère à même la réalité. A certains spécialistes seuls, notre monde industriel a confié le savoir des signes empiriques. A tous les autres, un substitut codé, très appauvri et le plus souvent inexact, suffira.

La civilisation de l'imprimé nous laisse avec une conception très réductrice de la lecture. Aux questions inquiètes des sondages qui veulent savoir si demain on lira moins ou plus qu'aujourd'hui, des sociologues mieux avisés 1 ont opposé des questions plus pertinentes : qu'appelez-vous lire, vous qui vous inquiétez tant pour les autres ? Ne serait-ce pas tout simplement le peu que vous savez lire vous-même et à quoi vous voulez limiter les autres ? Or voilà bien la question qui se pose aujourd'hui, non pas à ceux qu'on nomme « illettrés », mais plus encore aux autres : que savons-nous lire aujourd'hui d'autre que notre maigre écriture ?

Cette question, les nouvelles technologies de la communication nous la répètent avec de plus en plus d'insistance. Non pas tant parce qu'elles requièrent un nouvel apprentissage, facile à acquérir, mais tout simplement parce qu'elles savent transporter et reproduire beaucoup plus que de l'écriture : notre voix, notre image, notre logique même et les mécanismes de notre pensée, si bien que l'écriture n'y intervient que comme un adjuvant, et un souvenir qui s'y dissimule et se dérobe à la lecture.

Un ethnologue raconte qu'une tribu amazonienne s'étant soudain enrichie par la vente de précieux territoires, s'équipa d'un réseau de vidéocommunication qui permettait au chef de tenir, sur différents points de son village, d'authentiques vidéoconférences. Autre-témoignage étonnant d'une chercheuse au CNRS en mission au Brésil: « Au printemps 84, lors des émeutes des Indiens Patoxos, la télévision a montré des images de groupes d'Indiens postés devant les cases où ils gardaient les otages blancs, au bord du fleuve où ils avaient arrêté la seule barque qui faisait la traversée; on y a vu des Indiens presque nus portant à la main un gourdin, sur le corps des peintures de guerre et en bandoulière un magnétophone » 2.

Au Brésil, il y a plus de postes de télévision que de personnes alphabétisées. Toute une civilisation pourra-t-elle passer à côté de l'écriture, en la frôlant dans ses couches supérieures, et passant naturellement, dans sa majorité, de l'oralité à l'audiovisuel ?

La lecture des formes

La plus riche des pages qu'un homme puisse jamais lire, c'est le visage humain, le premier des espaces de lecture, celui par où d'abord, il apprend presque tout. La lecture du visage n'a pourtant pas fait de grands progrès depuis les théories de l'expression que les peintres classiques mettaient au dessus de tout et qui s'étaient constituées en véritables dictionnaires. La photographie d'abord, qu'on inventa avant tout pour démocratiser le portrait, le cinéma ensuite, qui accorde au visage un premier plan que le théâtre doit laisser dans le lointain, l'ont remise à la mode. Les vidéoconférences, bientôt le visiophone, renouvelleront l'usage de ce premier outil d'écriture et de lecture qu'est le visage.

Deux remarques à ce sujet : il est curieux qu'il ait fallu ce détour immense par des technologies sophistiquées de transmission et de reproduction pour que nous redécouvrions la lecture immédiate des formes, comme le mode naturel et fondamental de la connaissance, sans passer par des codes abstraits et réducteurs. Beaux savants qui avons besoin d'un écran pour apercevoir l'intérêt d'un regard ! Ensuite, il faut bien admettre que cette lecture-là est commune aux savants et aux illettrés : il n'y a aujourd'hui, en ce domaine, ni enseignants, ni enseignés. Un code arbitraire, artificiel s'enseigne bien sûr et doit même absolument s'apprendre par coeur, mais un moyen immédiat et empirique, même s'il n'est jamais pur de tout code, est d'abord une pratique et je crains fort que ceux qui prétendent l'enseigner en sachent moins que leurs élèves. Les intellectuels, rongés par l'écriture, sont pour la plupart des illettrés de la pratique. Si bien que, si l'on considère à nouveau l'ensemble de la lecture comme un vaste phénomène qui ne se réduit pas à celle de l'écriture alphabétique occidentale, ou bien personne n'est illettré, ou nous sommes tous des illettrés, et le débat entre enseignants et enseignés, dont on souhaite éviter qu'il ne soit qu'un simple rapport de force, se déroulerait alors à armes égales.

Les enquêteurs sur l'illettrisme sont frappés de la normativité que notre étroite notion de lecture impose à leur enquête : « Liée à l'école et à la qualification dont s'enorgueillit le normateur », écrit Jean-François Barbier-Bouvet, « les non-lecteurs sont ceux qui ne lisent pas ce que lit celui qui les juge ». D'où la nécessité, pour mieux enrayer l'illettrisme, d'élargir au maximum l'éventail de la lecture qui s'élargit précisément sous nos yeux à grande vitesse. L'intellectuel qui ne prend pas en compte cet élargissement spectaculaire de la notion même de lecture, inaugurera demain une nouvelle forme d'analphabétisme.

Le perfectionnement de l'imprimerie a déjà déséquilibré les fondements de la lecture de Gutenberg. A l'époque typographique, le code était presque tout, la figure était exclue du texte et ne subsistait que dans ce subtil espace de liberté que lui laissait la forme des caractères.

Les contraintes imposées par leur fonction de lisibilité ne les ont jamais privés de toute signification esthétique. On ne perçoit pas une lettre aldine comme une lettre frakture, ni aujourd'hui un garamond comme un helvetica. Cette lecture formelle de l'écriture n'était pas enseignée, sauf aux imprimeurs, car elle avait peu d'importance dans le message. Il n'en va pas de même aujourd'hui. Il suffit de lire la une d'un journal ou la couverture d'un magazine.

L'époque de l'offset a fait naître la fonction du graphiste qui joue non avec le code de l'écriture mais avec ses figures. La facilité avec laquelle aujourd'hui l'industrie reproduit les images a déployé les significations graphiques de l'écriture, que tout le monde comprend, même les illettrés, sans les avoir apprises. La variété des caractères - le catalogue « letraset » le montre éloquemment -, l'osmose enfin rendue possible dans l'imprimerie, entre texte et image, donnent d'autres dimensions à la lecture. On m'objectera que ce phénomène est encore peu visible dans la lecture des rapports techniques ou du Journal officiel. J'en conviens, mais il est évident que la banalisation des outils de publication assistée par ordinateur, intégrant le choix entre différents caractères, la possibilité d'une mise en page et des palettes graphiques, va répandre ce nouveau langage partout. Dès aujourd'hui l'écriture « parle » et parfois chante, et nous sommes entourés d'une débauche d'alphabets expressifs : signalétique, étiquettes, enseignes, publicités, magazines, emballages, marques et logos sont notre paysage quotidien, notre lecture ordinaire. Cette lecture-là n'a pas d'école ni d'experts, sauf dans quelques enseignements spécialisés d'art décoratif. Elle se développe sous nos yeux sans que les enquêteurs n'interrogent les clercs pour savoir s'ils la comprennent bien.

Les écritures occidentales, qui jusqu'aujourd'hui ont dominé la technologie de l'imprimerie, deviendront inférieures aux systèmes idéographiques plus complexes. Les écritures chinoise ou japonaise, plus figurées que les nôtres, plus riches en caractères et auxquelles la calligraphie peut apporter l'intonation qui manque aux nôtres se sont fort mal accommodées de la galaxie Gutenberg. Elles y ont été soumises pourtant, au point que, pour plus de pratique, il fut souvent question de les latiniser. On sait les machines monstrueuses aux multiples claviers qu'il fallut construire pour les rendre reproductibles. On comprend mieux pourquoi les Japonais sont devenus maîtres dans la photocopie et la numérisation. Tout procédé qui traite le texte comme une figure convient aux écritures pictographiques et restitue la richesse à ce qui était devenu un handicap. Inversement, nos alphabets en ressortent miséreux, au regard des possibilités techniques actuelles de la reproduction.

Une lecture multimédia

Les nécessités d'une écriture fondée sur un code stable aux figures restreintes et impossibles ont longtemps imposé à l'image l'espace entièrement fait pour le texte : page, colonne, bandeau... et l'image en était prisonnière. Aujourd'hui, l'écran, conçu pour l'image, impose son espace au texte qui s'épuise à l'y suivre et souvent s'y ridiculise. L'image était « hors-texte » ; le texte devient « sous-titre ». Ce phénomène, encore marginal, va se généraliser avec les progrès irrésistibles de la reproduction numérique. La numérisation, que le réseau de télétransmission « Numeris » popularise et s'apprête à banaliser comme le téléphone et la télévision, est adaptée à la figure en général, dont le texte n'est qu'une sous-catégorie. Tout signe, oral ou visuel, est réduit au même code binaire, et la traditionnelle dualité figure/discours y est souvent dépassée. Mais, plus encore, elle dépasse l'opposition entre l'oral et l'écrit qu'elle traite de façon indifférenciée. Cette écriture universelle se substitue à toutes les autres pour leur transport, leur restitution, leur traitement qui devient infini, et leur reproduction.

Une lecture multimédia va-t-elle se développer sur ces nouveaux terrains ? Sans doute ; elle apparaît déjà, mais de cette lecture-là, nous sommes tous les illettrés.

La diversification explosive de l'écriture se complique d'une autre, qui affecte ses supports. « Le livre » demeure, dans notre imaginaire, le complément d'objet direct naturel du verbe lire. Il en va tout autrement dans la réalité. Nous lisons en permanence des panneaux, des tickets, des écrans, des placards. Je ne sais si la lecture des livres s'accroît, mais la lecture « monumentale », celle des inscriptions et des affiches, et la lecture « rapprochée », celle des cadrans et des cartes, se développent partout.

De même la lecture « de consultation » prend le pas sur la lecture suivie. Il y a tant de choses à lire ! La lecture « au vol » d'une page, d'une phrase, d'une note se développe avec la multiplication des livres qu'on ne lit jamais : annuaires, schémas, livres tabulaires, guides, cartes, etc. Ce ne sont pas des « sous-lectures », indispensables au commun des mortels, mais dont « le bon lecteur » serait dispensé.

Il faut aussi cesser d'imaginer le « bon lecteur » comme un être paisible et muet. Les façons de lire évoluent évidemment avec la diversité des supports et des messages. La lecture multimédia est sonorisée. La lecture d'une exposition passe sans cesse du cartel au tableau et oblige à un mouvement perpétuel. Les bibliothécaires, qui ont accepté que les enfants - les enfants seulement, hélas !- puissent lire couchés, commencent à s'apercevoir que certains livres doivent être lus debout, rapidement et partiellement. Au sens où l'entendent certains enquêteurs, le Bulletin des lois ou l'Index medicus ne seraient pas des livres. A la question : - Lisez-vous ? - Oui - Quel(s) livre(s) avez-vous lu(s) récemment ? Le « mauvais lecteur » ne répond jamais : « l'annuaire téléphonique » ou « 36-15 Libé ». Il faut donc l'admettre : il y aura d'autres façons, demain, d'être un « grand lecteur ».

On ne peut plus l'ignorer, c'est le développement du chômage, le risque de licenciement et la sélection des demandeurs d'emploi qui ont révélé l'illettrisme comme un grand problème social et économique. Mais il est une autre série de facteurs liés à l'automatisation des tâches, qui oblige beaucoup d'ouvriers non spécialisés à devenir des lecteurs malgré eux. Or, ce phénomène des technologies qui incluent toujours, d'une certaine façon, une certaine lecture de la machine n'existe pas seulement au niveau subalterne : c'est un problème général qu'on retrouve de bas en haut de la hiérarchie sociale. Il est plus visible au bas de l'échelle, parce qu'au dessous d'un certain seuil, il devient vital et souvent dramatique, mais ce serait une grave erreur économique que de cacher son ampleur et sa gravité. Sauf à régresser ou à être abandonnés sur le bord du chemin, nous devons tous réapprendre à lire. Au jour où la lecture explose, les lecteurs assidus de romans paisibles ne sont pas obligatoirement de bons lecteurs. Savoir lire au sens où l'entendent les enquêtes et où nous l'avons appris à l'école ne suffit plus.

Prenons l'exemple du plus noble des lecteurs : comment travaillera-t-il sur son écran « intelligent », capable de faire plus vite que lui toutes les opérations logiques de la recherche et de l'écriture ? Collation de texte automatique, recherches en texte intégral, traitement de texte, mise en mémoire de notes, indexation automatique, dictionnaires intégrés permettant le contrôle orthographique ou l'aide à la traduction, appel aux images, etc. Eh bien, il apprendra tout cela. Et il devra s'habituer aussi à ne plus jamais considérer un texte comme figé. Aucune édition de texte ne peut, avec cet outillage, avoir le privilège d'être définitive. Seule la lourdeur de la technologie de l'imprimerie nous a contraints à considérer un texte comme devant nécessairement être achevé, d'une façon quasi irréversible, au jour de son édition.

La composition et l'édition sur micro-ordinateur signent la mort du « texte canonique », qui suscita l'existence de plusieurs sciences et consuma la vie de bien des savants. Les érudits qui aujourd'hui- n'hésitent plus à faire varier leurs textes au jour le jour, de congrès en congrès, comme les éditions éphémères d'un grand quotidien en font dès à présent la curieuse expérience. Reprenant la thèse de Berg-son qui prétendait qu'un écrivain n'écrit jamais qu'un seul texte dans sa vie (thèse que Freud ne pourrait désavouer), on pourrait désormais obliger tout auteur à ne publier jamais qu'une nouvelle version de son oeuvre précédente.

Il s'ensuit une mutation de la lecture. Ces textes consultés sur écrans ne sont pas faits pour la lecture continue. Ils facilitent au contraire l'entrée aléatoire dans un texte qui appelle la lecture ponctuelle. Elle ne suggère plus la vision totalisante du texte, mais oblige à une sélection. Les outils de sélection sur papier, nos thésaurus, tables des matières et listes d'autorités, sont, les bibliothécaires le savent bien, encore inadaptés aux possibilités différentes de la lecture sur ordinateur, dont on n'a pas fini de mesurer la profondeur. La lecture aléatoire ne peut plus cesser de se perfectionner, mettant en péril la notion même de texte au profit d'une autre organisation logique des idées que « l'hypertexte » met déjà en oeuvre. Aujourd'hui la lecture est partout. Seuls ceux qui en ont une conception excessivement pauvre la voient régresser. Gardons-nous donc des illusions d'optique tendancieuses qui interprètent en pourcentage (en diminution) les chiffres absolus (en augmentation) de la massification de la culture : il y a en chiffres absolus plus d'élèves qui apprennent le latin qu'avant-guerre. Qu'importe que leur effectif apparaisse minoritaire auprès de ceux de disciplines qui connaissent une croissance vertigineuse. Il est vain de vouloir mesurer les actes de lecture, de dresser des palmarès ou de s'inquiéter de la dispersion d'une lecture canonique, comme un Père de l'Eglise s'inquiétant de la disparition de la lecture à haute voix.

Sans doute la lecture de l'alphabet n'a plus, depuis longtemps, l'exclusivité et perdra peut-être un jour sa suprématie sur les autres moyens de communiquer à distance, gagnés par le retour de l'oralité. Qui s'en plaindrait ? Socrate, qui refusa d'écrire s'en réjouirait et Ciceron, à l'époque où l'adage « Verba volent, scripta manent » signifiait encore que la parole avait cette supériorité sur l'écrit de ne pas figer la souplesse de pensée. L'audiovisuel, la fin de la notion de « texte » rendront heureusement à cet adage son véritable sens.

Il serait tout aussi dangereux de croire que l'écrit perdra son importance, au contraire. Parallèlement aux autres moyens que nous aurons à réapprendre, l'écrit et l'imprimé seront, eux aussi, aspirés par la spirale technologique qui en facilite la reproduction et la diffusion. Le volume des textes imprimés croît, dit-on, de 20 % chaque année. Les micro-ordinateurs domestiques avec leurs imprimantes de plus en plus douées feront sans doute encore grimper ce pourcentage. Le codex a de beaux jours devant lui, et avec lui le feuillet, le télex et le listing dont les machines sont prodigues.

L'illettrisme est donc bien le fléau que l'on dit, car dans notre société d'écriture, où tout est médiatisé, l'illettré n'aura plus de salut. Il faut donc faire beaucoup plus pour enrayer l'illettrisme que les rares et pourtant remarquables opérations menées ici où là. L'illettrisme aujourd'hui n'est pas tolérable. La lecture ne s'apprend plus seulement à l'école. Mais, si elle n'est pas apprise à l'école, elle ne s'apprendra pas du tout. L'explosion de la lecture, sa diversification peuvent ainsi être la meilleure et la pire des choses.

La pire serait que les intellectuels l'ignorent et deviennent à leur tour des illettrés.

La meilleure serait qu'elle offre aux illettrés des chemins plus commodes, des outils plus pratiques qui leur ouvrent d'eux-mêmes la lecture du Grand Livre

avril 1989

  1. (retour)↑  Jean-François BARBIER-BOUVET, « La fin et les moyens, méthodologie des enquêtes sur la lecture », dans Pour une sociologie de la lecture ... sous la dir. de Martine Poulain, Paris, Cercle de la librairie, 1988, p. 215-237. Voir aussi Martine POULAIN, « Quelles études sur l'illettrisme ? » dans Esprit, (à paraître).
  2. (retour)↑  Marie-France KOULOUMDJIAN et Luis R. BUSATO, « L'audiocassette au Brésil et ses formes d'appropriation », rapport de l'IRPEACS (CNRS), juillet 1984, p. 112, note 12.