Allemagne

Les Problèmes du catalogue alphabétique d'auteurs et de titres en Allemagne. Situation présente

Dr Ludwig Sickmann

Exposé des problèmes posés par la révision des catalogues, notamment dans les bibliothèques sinistrées. Discussions sur le maintien ou le rejet des règles traditionnelles (Instructions prussiennes) en ce qui concerne particulièrement l'adoption éventuelle de l'«ordre mécanique » et de la « fiche unitaire ». Progrès marqués dans l'opinion pour le principe de la collectivité-auteur (avec réserve en ce qui concerne l'application)

La reprise de la discussion sur les problèmes du catalogue alphabétique s'imposait depuis longtemps. Le fait déterminant pour cette reprise était l'état des bibliothèques allemandes à la fin de la deuxième guerre mondiale. Dans beaucoup de bibliothèques, les catalogues avaient pu être sauvés, mais les fonds étaient en partie détruits, d'autres avaient, par surcroît, perdu leurs catalogues. En raison de la perte des livres, les catalogues restants étaient d'un usage restreint.

A cette époque, où il fallait créer de nouveaux catalogues, ou revoir les anciens, les bibliothécaires allemands eurent la possibilité de réexaminer les problèmes que posent tous les genres de catalogues et de mettre à profit l'expérience acquise au cours des dernières décades.

Ceci n'était, toutefois, le cas que pour les catalogues par sujets (catalogue systématique et catalogue alphabétique de matières) dont la reconstitution, dans l'intérêt des lecteurs, était importante, mais non primordiale. En tout premier lieu, il fallait informer le lecteur s'il pouvait, ou non, trouver le livre qu'il cherchait. On entreprit donc d'abord la tâche de reconstituer les catalogues alphabétiques et d'en faire le plus rapidement possible des instruments de travail utiles.

On n'eut pas le temps de songer à des réformes; il fallut donc se servir des règles déjà existantes :
a) Instruktionen für die alphabetischen Kataloge der preussischen Bibliotheken (publiées en 1899, revues en 1908, mais - bien des collègues l'ignorent - utilisables uniquement dans la réédition de 1915; la précédente comporte des erreurs, surtout dans les exemples, qui sont corrigées dans l'édition de 1915) 1, pour les bibliothèques scientifiques et une partie des bibliothèques des grandes villes.
b) Les Anweisungen für den alphabetischen Katalog der Volksbüchereien de 1938, pour la plupart des bibliothèques municipales. Les Anweisungen diffèrent des Preussische Instruktionen surtout par le principe du choix du premier mot de classement dans la vedette de titre. Ce n'est plus le point de vue grammatical qui prévaut, mais les vedettes de titre sont choisies d'après l'ordre des mots (ordre mécanique).

On eut toutefois l'impression d'avoir laissé passer une occasion. La pensée qu'une réforme était nécessaire ne donnait pas de répit aux bibliothécaires. En 1949, on fonda, dans le cadre du «Verband der Bibliotheken des Landes Nordrhein-Westfalen » (Allemagne de l'Ouest), une commission de catalogage qui tendait vers la réforme des Preussische Instruktionen. En ce qui concerne le travail de cette commission qui devient bientôt le porte-parole du « Verein deutscher Bibliothekare » et les projets partiels déjà soumis, on se reportera à l'étude détaillée de R. Samulski 2 (Munster-en-Westphalie) et on comparera en outre les comptes rendus de H. Braun (Hambourg) 3 et de L. Sickmann (Cologne) 4). Après la « Journée des bibliothécaires allemands » de 1954 (Brême), au cours de laquelle R. Samulski fit son compte rendu et H. Fuchs pesa prudemment le « pour et le contre » 5, il n'y eut pas de congrès de bibliothécaires allemands qui n'évoquât les problèmes du catalogue alphabétique d'auteurs. En Allemagne de l'Est, on fonda également une commission à Berlin 6. Pour les bibliothèques municipales, on a publié des règles spéciales 7.

Après le grand élan initial, le travail de la commission ouest-allemande fut ralenti par le fait que ses membres et surtout ceux du comité de travail n° 1 (F. Michels, R. Samulski, E. Seyler et L. Sickmann) étaient très pris par leurs obligations professionnelles 8. Pressés par leurs collègues, MM. Michels et Samulski entreprirent, malgré tout, de résumer les projets partiels déjà publiés. Ce résumé (multigraphié) parut, en 50 exemplaires seulement, sous le titre Regeln für den alphabetischen Katalog (règles pour le catalogue alphabétique). Cet ouvrage, jugé insuffisant et provisoire par les rédacteurs eux-mêmes, fut envoyé aux bibliothèques intéressées et aux collègues pour une prise de position : G. Pflug a fait un compte rendu portant sur les 15 réponses reçues 9.

H. Roloff a fait le point de la situation telle qu'elle se présentait en 1959 (à l'exception des prises de position mentionnées ci-dessus, concernant le projet publié en 1958) 10. A cette époque, en Allemagne, les discussions étaient déjà influencées (et en partie paralysées) par la future Conférence internationale sur les principes du catalogage. M. P. Poindron a décrit en détail, dans ce Bulletin, les préliminaires et la préparation de cette conférence 11.

Le communiqué final de la session préparatoire (Londres, juillet 1959) donna cependant l'occasion aux bibliothécaires allemands de reprendre la discussion sur les problèmes de base du catalogue alphabétique. Au cours de la « Journée des bibliothécaires allemands » de 1960 (Trèves), M. Braun (Hambourg) exposa les résultats de la session de Londres 12. On décida alors de soumettre les sujets principaux de la conférence de Paris de 196I à une discussion approfondie entre les experts de catalogage de l'Allemagne de l'Ouest. En outre, certaines questions devaient être traitées par écrit (voir ci-dessous). Les experts se réunirent deux fois (le 25 octobre 1960 à Mayence et le 13 décembre 1960 à Francfort-sur-le-Main); à la dernière réunion prenaient part les représentants des organismes suivants :
- Borsenverein des deutschen Buchhandels (Francfort-sur-le-Main);
- Deutsche Bibliothek (Francfort-sur-le-Main);
- Deutscher Büchereiverband (Berlin-Ouest);
- Deutscher Normenausschuss (Berlin);
- Verband der Bibliotheken des Landes Nordrhein-Westfalen (Cologne);
- Verein der Diplombibliothekare an wissenschaftlichen Bibliotheken (Brême).
- Verein deutscher Bibliothekare (Francfort-sur-le-Main);
- Verein deutscher Volksbibliothekare (Brême).

Les résultats de ces réunions furent publiés sous le titre Stellungnahmen zu den Themen der Internationalen Konferenz für Grundsütze der alphabetischen Katalogisierung (Prises de position sur les thèmes de la Conférence internationale sur les principes de catalogage alphabétique) dans le Zeitschrift für Bibliothekswesen und Bibliographie 13. Une dernière délibération des experts a eu lieu fin septembre à Francfort-sur-le-Main.

La préparation de la conférence de Paris a suscité en Allemagne comme dans bien d'autres pays, un intérêt plus vif pour les problèmes du catalogue alphabétique et lui a donné une nouvelle impulsion.

Les bibliothécaires allemands se rendaient compte qu'ils ne pouvaient se joindre à la discussion internationale qu'après avoir rompu avec certaines traditions, sans pour autant désavouer complètement les Preussische Instruktionen qui avaient fait leurs preuves et qui étaient prisées même à l'étranger. Ce n'était pas dans les intentions de la commission de catalogage de Nordrhein-Westfalen. Son objectif principal (et les bibliothécaires de l'Allemagne l'ont approuvé) était de modifier la structure des règles de façon à en faire une aide méthodique même pour le débutant, tout en rendant plus claires les définitions des termes nécessaires au catalogage. L'adoption de « l'ordre mécanique », c'est-à-dire du principe de classer les titres dans l'ordre des mots, tel qu'il est appliqué dans presque tous les pays étrangers, constitue un changement par rapport aux Preussische Instruktionen.

Les collègues allemands qui s'étaient d'abord prononcés pour le maintien du principe grammatical (selon les Preussische Instruktionen) ont acquis, lentement mais sûrement, la conviction, depuis 1954, que les nouveaux catalogues (et bibliographies) devaient être établis de cette façon, sans toutefois toucher à la question épineuse du remaniement des catalogues anciens. Nous nous rendons tous compte que ce problème n'est pas de ceux qui seront traités à Paris; il a cependant donné lieu à de violentes discussions en Allemagne, ce qui m'incite à le mentionner 14.

Une explication encore me paraît nécessaire : les Preussische Instruktionen comportent deux séries de règles, et plus exactement trois. La première instruction prescrit l'établissement de la notice, la deuxième traite de la mise en place des notices et de l'intercalation des fiches. Dans la deuxième série, il y a donc un mélange de règles qui, dans d'autres pays, se trouvent dans des séries différentes. L'établissement d'une notice est donc déterminée beaucoup plus qu'ailleurs par la place exacte qu'occupe cette notice dans le catalogue alphabétique. L'intercalation n'est pas, chez nous, une tâche pour le personnel technique. Elle incombe au bibliothécaire.

On a longuement discuté du problème des collectivités-auteurs. Le terme n'est pas mentionné dans les Preussische Instruktionen, bien que les publications de maisons commerciales, catalogues et autres, soient à classer sous le nom de la maison même s'il ne comporte pas de nom de personne, par exemple : « Akademische Verlagsanstalt » ; on applique évidemment les règles servant au classement par titres et la vede tte sera donc : VERLAGSANSTALT AKADEMISCHE. L'introduction de la collectivité-auteur constitue un changement beaucoup plus grand dans les traditions allemandes de catalogage que l'introduction de « l'ordre mécanique ». D'après les règles en vigueur jusqu'à présent, on classe le « Mitteilungsblatt. Verband der Bibliotheken des Landes Nordrhein-Westfalen » - déjà souvent cité - sous « Mitteilungsblatt ». On pouvait y joindre les mots formant la société éditrice, pour le sous-classement (donc : Mitteilungsblatt Verband Bibliotheken). D'après les 'nouvelles règles, ce serait le nom de l'association qui serait en vedette. Le mot « Mitteilungsblatt » ne servirait qu'à différencier celui-ci des autres publications de cette association, comme pour les ouvrages d'un auteur. H. Fuchs a souligné que la collectivité-auteur ne pouvait être adoptée sans « l'ordre mécanique ». Il a raison si l'on considère les résultats désastreux que donnerait le choix du point de vue grammatical, appliqué aux collectivités-auteurs. Les deux problèmes se situent sur des plans différents, mais la solution du second implique la solution du premier. Là aussi un accord a été atteint : à Paris, les délégués de l'Allemagne de l'Ouest, et probablement ceux de l'Allemagne de l'Est, se prononceront pour la collectivité-auteur.

En ce qui concerne le genre de publications à ranger dans cette catégorie, leur position sera beaucoup plus prudente que celle, par exemple, des Américains ou des Français. Les raisons en sont, d'une part, les traditions existantes, d'autre part, la préférence donnée au nom d'un auteur personne physique ou au titre spécifique, même si une organisation ou un organisme officiel est « responsable » de la publication. Bien entendu, après adoption de la collectivité-auteur, il faudra, en pareil cas, faire un renvoi ou une fiche secondaire au nom de l'organisation, ce qui n'est pas prévu dans les Preussische Instruktionen.

Au cours de la « Journée des bibliothécaires » de 1960, (Trèves), M. Cordes a exigé que l'état des discussions soit communiqué aux bibliothécaires allemands sans attendre les résultats de la Conférence de Paris sur ce point 15. P. Baader (Mayence), collaborateur de H. Fuchs, fut chargé d'examiner la question dans son ensemble et nous espérons recevoir cette étude avant l'ouverture de la conférence 16. Les exemples de collectivités-auteurs étant très rares dans les catalogues allemands 17, l'accord de nos collègues sur ce point est d'autant plus remarquable.

Dans le même ordre d'idée, nous avons examiné la question du « renvoi » traditionnel préconisé par les Preussische Instruktionen et de son remplacement éventuel par la fiche unitaire. Là-dessus, les avis des bibliothécaires allemands sont partagés. On a donc chargé un spécialiste dans la matière d'étudier cette question 18.

Le principe de l' « unité littéraire » étant adopté depuis toujours en Allemagne, il n'y a pas de discussion sur le problème de l'entrée principale. On concède, toutefois, aux bibliothèques publiques et aux bibliographies courantes de ne respecter que l' « unité bibliographique ». Ces bibliographies doivent, dans la mesure du possible, mentionner le titre original en note.

Le problème des noms composés ou noms à préfixes ne prête pas à discussion. Les bibliothécaires allemands sont en effet tous convaincus que sur ce point les règles des Preussische Instruktionen, selon lesquelles les noms doivent être traités d'après les traditions et le caractère de la langue à laquelle ils appartiennent, ont fait leurs preuves. Cette solution semble cependant avoir peu de chance d'être adoptée sur le plan international. On préconise ici la proposition de Lubetzky et notamment de traiter le nom de l'auteur selon la langue dans laquelle il écrit. Il n'est pas toujours possible de déterminer la nationalité de l'auteur (et de ce fait la façon de traiter son nom d'après les coutumes de ce pays). D'autre part, ces recherches sont trop longues. On accepterait sur le plan international un « canon » des formes de noms dans les différentes langues.

Nous citerons en dernier lieu une discussion fondamentale des bibliothécaires de l'Allemagne de l'Ouest : elle porte sur le problème de la simplification des règles. Le Directeur de la Bibliothèque universitaire de Munster, Dr W. Beaubuis, malheureusement décédé récemment, en traite dans son article Katalog-reformen 19. Il demande non pas de simplifier les entrées dans les catalogues, mais de simplifier les règles et de les rendre plus élastiques. Cette exigence, si justifiée qu'elle soit, est très difficile à réaliser. Il est évidemment impossible de tenir compte de tous les cas particuliers, mais il existe des types déterminés de publications et des données bibliographiques constantes dont on devrait fixer les techniques de catalogage. Cela seul impliquerait déjà un nombre considérable de paragraphes.

L'auteur de cet article a été pendant des années membre d'une commission chargée d'établir de nouvelles règles et il avoue qu'on ne peut réduire le nombre de paragraphes si on veut établir un « Code »; si l'on ne donne que des lignes de conduite générales, les règles s'avèrent insuffisantes dans la pratique.

C'est heureusement différent dans les discussions sur le plan international; on ne peut y fixer que les bases sur lesquelles devraient être établis les catalogues (surtout les catalogues imprimés) et les bibliographies. Mais ces bases et les considérations de principe influenceront les discussions internes des bibliothécaires d'un pays, comme cela s'est déjà produit en Allemagne.

  1. (retour)↑  Traduit de l'allemand par Mme Rosenbaum, Service technique de la Direction des bibliothèques de France.
  2. (retour)↑  Traduit de l'allemand par Mme Rosenbaum, Service technique de la Direction des bibliothèques de France.
  3. (retour)↑  Il est regrettable que la « Deutsche Staatsbibliothek » (Berlin-Est), ait choisi, pour les trois réimpressions qu'elle a fait paraître, l'édition de 1908, non corrigée (Regeln für die alphabetische Katalogisierung in wissenschaftlichen Bibliotheken).
  4. (retour)↑  Die gegenwärtigen Probleme des alphabetischen Katalogs in Deutschland. Der Stand der Neubearbeitung der Preussischen Instruktionen (in : Mitteilungsblatt. Verband der Bibliotheken des Landes Nordrhein-Westfalen, NF Jahrg. 4 (1953-54), n° 3-4, pp. 49-62).
  5. (retour)↑  Voir : Revision of cataloguing rules in Germany (in : Unesco Bulletin for libraries, vol. 9 (1955), n° 4, pp. 72-73).
  6. (retour)↑  Voir : Aktuelle Probleme des alphabetischen Katalogs (in : Zeitschrift für Bibliothekswesen und Bibliographie, Jahrg. 1 (1957), n° 4, pp. 246-26I).
  7. (retour)↑  Voir : Für und wider die Preussischen Instruktionen (in : Zeitschrift für Bibliothekswesen und Bibliographie, Jahrg. 1 (1954), n° 3, pp. 173-185).
  8. (retour)↑  Voir le projet partiel : Regeln für den alphabetischen Katalog an wissenschaftlichen Bibliotheken. § I-56. Berlin, 1956. Multigr.
  9. (retour)↑  Der alphabetische Katalog in allgemeinen öffentlichen Bibliotheken. Anweisungen. 3. Aufl. Leipzig, 1959.
  10. (retour)↑  A comparer avec la situation aux États-Unis. (Gœthe : Amerika, du hast es besser...)
  11. (retour)↑  Voir : Bericht über die eingegangenen Stellungnahmen zu den Regeln für den alphabetischen Katalog (in : Mitteilungsblatt. Verband der Bibliotheken des Landes Nordrhein-Westfalen, NF Jahrg. 9 (1959), n° I, pp. 10-19).
  12. (retour)↑  Voir : Die Katalogisierung (in : Handbuch der Bibliothekswissenschaft, 2. Aufl., 2. Bd. Wiesbaden, 196I, pp. 242-356).
    Le fascicule contenant cet article a paru au printemps 1959.
  13. (retour)↑  Voir : Préparation de la Conférence internationale sur les principes de catalogage, Paris 196I (in : Bulletin des bibliothèques de France, 5e année (1960), n° 12, pp. 467-483).
  14. (retour)↑  Voir : Die Vereinheitlichung von Grundsätzen für die alphabetische Katalogisierung auf intemationaler Ebene (in : Zeitschrift für Bibliothekswesen und Bibliographie, Jahrg. 7 (1960), n° 3, pp. 198-218).
  15. (retour)↑  Jahrg. 7 (1960), n° 4, pp. 380-384.
  16. (retour)↑  D. Poggendorf (Sarrebruck) fut chargé d'examiner à nouveau les problèmes posés par « l'ordre mécanique » (intercalation par mots ou par lettres, rejet de certains mots, etc.). Les épreuves de ce travail sont prêtes et il paraîtra probablement sous forme de livre, avec les travaux de P. Baader (voir note 16) et de H.-O. Weber (voir note 18).
  17. (retour)↑  Voir sa conférence : « Die Zentralkataloge der Bundesrepublik und die Coordination of cataloguing principles » (in : Zeitschrift für Bibliothekswesen und Bibliographie, Jahrg. 7 (1960), n° 3, pp. 219-227, notamment p. 225).
  18. (retour)↑  Cet ouvrage paraîtra en livre (voir note 14), mais on projette de publier un premier tirage à part.
  19. (retour)↑  Le système de catalogage élaboré par W. Gülich pour la bibliothèque de l'« Institut für Weltwirtschaft » à Kiel diffère sensiblement de celui des autres bibliothèques et comporte un « Korperschaftenkatalog » (catalogue des collectivités). Le système a été repris et développé par la « Bibliothek des Deutschen Bundestages » à Bonn. On a créé à l'intérieur du « catalogue des collectivités » une rubrique « organismes officiels », ce qui serait une excellente façon de résoudre ce problème difficile. Voir : Instruktionen für die Kataloge der Bibliothek des Deutschen Bundestages. Entwurf, Stand Mai 1961. Hrsg. von K.G.Wernicke, bearb. v. H. Matthes unter Mitarbeit von I. Hoffmann. Bonn, 196I.
  20. (retour)↑  La fiche-unitaire est utilisée depuis assez longtemps à la « Niedersachsische Staats-und Universitätsbibliothek Göttingen ». Il a donc été demandé à un de ses collaborateurs H.-O. Weber, d'étudier la question.
  21. (retour)↑  Zeitschrift für Bibliothekswesen und Bibliographie, Jahrg. 1 (1954), n° 3, pp. 185-208.