L'enseignement de la bibliographie, partie intégrante de l'enseignement médical. Une expérience de deux ans à Strasbourg (1968-1970).

Simone Schlumberger

Brigitte Ménégoz

Jacques Héran

Depuis deux ans, la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg, section médecine et la Faculté de médecine de Strasbourg ont établi en commun un programme d'enseignement de la bibliographie, intégré à l'enseignement médical. Durant l'année universitaire, des groupes de travail constitués d'étudiants de troisième année entreprennent, sous la direction de leur professeur, de physio-pathologie des travaux de recherche et d'approfondissement du cours magistral professé, à partir des documents mis à leur disposition par la bibliothèque. Chargés de la publication et de la diffusion de leurs travaux ainsi que de la mise à jour d'un fichier de physio-pathologie pratique, les étudiants acquièrent ainsi une initiation au travail bibliographique. Cette initiation n'est pas destinée à faciliter l'élaboration ultérieure de la thèse ou d'un travail de recherche. Son objectif fondamental est beaucoup plus large : « apprendre à apprendre » et « apprendre à raisonner » à ceux qui feront la médecine de demain.

En France, l'intérêt et les modalités de l'utilisation des bibliothèques médicales par les étudiants en médecine ont fait l'objet d'un certain nombre de publications 1. Mais, seul L'Enseignement de la bibliographie à la Faculté mixte de médecine et de pharmacie de Clermont-Ferrand fait état d'un enseignement concret de la bibliographie médicale, c'est-à-dire par le moyen de travaux pratiques dépouillant et utilisant la bibliographie d'un sujet donné. D'autre part, deux publications seulement, Notions élémentaires de bibliographie médicale et Comment faire une bibliographie sont le fruit d'une coopération indispensable entre la bibliothèque et la faculté.

Jamais, à notre connaissance, n'avait été réalisé un enseignement de la bibliographie médicale qui soit à la fois oeuvre pratique et oeuvre commune. Et pourtant, la bibliothèque n'est-elle pas, côte à côte avec la faculté, une source indispensable de l'enseignement médical ?

Depuis deux ans, à Strasbourg, près de 350 étudiants de 3e année de médecine, sur 500 étudiants sollicités, ont été volontaires pour travailler pendant près de deux semaines à la bibliothèque sur un sujet de physio-pathologie qu'ils avaient librement choisi, et ceci sous la direction jumelée de la bibliothèque et de la faculté. C'est cette expérience, passionnante pour les deux parties, que nous allons rapporter.

A) Objectif de cette expérience.

L'objectif était ambitieux : nous avons voulu initier le futur médecin à l'utilisation rapide et correcte des documents dont il aura plus tard besoin pour soigner au mieux ses malades.

Mais dans ce but, il convenait avant tout de ne pas perdre de vue la vocation première d'une faculté de médecine. Or c'est une erreur fréquente, lourde de conséquences, que d'ignorer ou de méconnaître le caractère fondamental et spécifique d'une faculté de médecine : à la différence des autres facultés, elle est en premier lieu une école professionnelle.

Certes, sa vocation de recherche est indiscutable. Mais celle-ci ne doit être envisagée qu'en second lieu : 9 étudiants sur 10 soigneront des malades... Cette primauté de l'enseignement, le Conseil national de l'Ordre des médecins a dû la rappeler récemment 2 :

« Le Conseil national de l'Ordre des médecins réaffirme solennellement que les études médicales ne constituent pas une quelconque activité scientifique universitaire, mais bien le mode de formation des médecins praticiens, dont le public attend les garanties les plus larges pour la protection de sa santé. »

C'est pourquoi le journal intérieur publié chaque semaine au cours de notre expérience pédagogique a porté en exergue de son titre : « vers l'auto-perfectionnement d'une pratique médicale raisonnée ».

I° vers l'auto-perfectionnement... - Une autre erreur habituelle est de considérer que la documentation d'une bibliothèque de médecine (hormis les usuels de la salle de lecture) n'est vraiment destinée qu'aux chercheurs et surtout aux « thésards ».

Or la thèse est le seul examen de médecine dont l'objectif soit para-professionnel. Pour un futur médecin, les véritables examens terminaux, ceux qui permettent aux enseignants de juger de ses connaissances professionnelles, ce sont les trois « cliniques ». La préparation de la thèse n'est qu'un épiphénomène dans la carrière d'un médecin. Conséquence logique : une bibliothèque de médecine a bien plus à faire qu'à aider l'étudiant dans la préparation de sa thèse!

Le 23 octobre 1969, l'éditorial du premier numéro du journal intérieur expliquait ainsi aux étudiants la nécessité de leur auto-perfectionnement futur :
« Un maître a ce souci constant : enseigner à se passer de lui. Gide.
« Pendant les 45 ans de votre vie de médecin, vous serez seul.
Loin de l'aile tutélaire de la Faculté !

Vous reviendrez avec nous quelques jours par an, pour l'enseignement post-universitaire ; quelques jours seulement, car vos malades auront besoin de vous.

Celui-ci ne peut donc être qu'un complément au travail personnel considérable auquel vous serez obligé pour suivre les progrès de plus en plus rapides de la médecine. Semaine après semaine, le praticien et le spécialiste essaient de moderniser et d'approfondir les notes de leurs cours et de leurs stages.

Interrogez vos aînés installés : tous, ils vous raconteront les faux-pas, les insuffisances, les lenteurs, les découragements qui ont jalonné cet auto-perfectionnement nécessaire.

C'est pour faciliter votre auto-perfectionnement futur qu'a été créé en octobre 1968 le système d'enseignement qui vous est proposé [...]. »

2° ... d'une pratique médicale raisonnée. - Deux semaines plus tard, l'éditorial du 3e numéro du journal intérieur introduisait ainsi la série d'articles préparés à la bibliothèque par les étudiants du premier groupe de travail :

« Je préférais, vous le savez, Seigneur, avoir de bons élèves, ce qu'on appelle bons, et je leur apprenais sans astuce l'art d'être astucieux. »

Saint-Augustin

« Voici donc que paraît l'œuvre commune du Ier groupe de travail de physio-pathologie. Ces quelques pages sont le fruit du travail considérable de lecture, d'analyse, de synthèse qu'a tenu à fournir chacun des membres du groupe. Le choix du sujet, la recherche des sources, la critique des documents, la mise au point du texte final de chaque article sont le résultat d'une discussion collégiale [...] Ce travail de lecture, d'analyse, de synthèse, de confrontation des idées, c'est la base même d'une pratique médicale raisonnée. »

B) Méthodologie.

Cette expérience a concerné en premier lieu des groupes de travail homogènes, tous constitués d'étudiants volontaires (deux étudiants sur trois ont répondu à notre invitation).

Mais nous avons aussi voulu atteindre les autres indirectement. Pour cela, ont été créés et mis à la disposition de l'ensemble des étudiants :

a) un journal intérieur hebdomadaire, intitulé enseignement Pratique de la Physico-Pathologie en 3e année, en abrégé « 3P ». Ce journal publie les articles des groupes de travail, ainsi que deux rubriques : l'Actualité bibliographique pratique et la présentation des grands périodiques médicaux de langue française.

b) un fichier de physio-pathologie pratique, destiné surtout aux étudiants de 3e année.

c) un guide de la bibliothèque (distinct du guide officiel) rédigé spécialement en vue de la recherche de références de physio-pathologie par des étudiants de 3e année.

d) le dépôt à la bibliothèque, trois jours après chaque cours, de la photocopie de notes manuscrites concernant ce cours. Ce dépôt, entre autres avantages, a celui d'attirer les étudiants à la Bibliothèque.

Nous insisterons sur quelques détails de fonctionnement des groupes de travail : Chacun d'eux est constitué par 8 à 10 étudiants volontaires.

L'objectif d'un groupe (un par semaine, d'octobre à avril) est le suivant : tout au long des deux semaines qui suivent le cours magistral hebdomadaire, approfondir le sujet traité par le professeur à l'amphithéâtre.

Aussi, dès le lendemain du cours, le groupe se réunit-il le matin à la bibliothèque. Après une visite guidée des locaux, commence une initiation bibliographique originale :

a) exposé (par un conservateur) du rôle théorique et pratique de la bibliothèque.

b) présentation des fichiers (par le professeur) en particulier du fichier de physio-pathologie et du fichier alphabétique-matières. Critique des divers systèmes de classification médicale.

c) présentation et commentaires critiques (par le professeur) des périodiques médicaux français de premier plan, des périodiques pour étudiants, des principales collections à feuillets mobiles, des grands manuels classiques, spécialement ceux de physio-pathologie.

d) instructions pratiques : « vous cherchez des références sur un sujet de physio-pathologie », « vous cherchez un article de périodique », « vous cherchez un ouvrage dont vous connaissez l'auteur ». Ces instructions étaient orales l'année précédente; elles ont été multigraphiées cette année et incluses dans le guide destiné aux étudiants de physio-pathologie de 3e année.

e) présentation très sommaire de l'Index medicus, dont les étudiants n'auront vraiment besoin qu'au moment de leur thèse.

Ensuite, l'après-midi, les étudiants prennent connaissance des sources fondamentales ayant servi au professeur pour construire son cours. Puis, le soir même, ils choisissent avec le professeur les points particuliers qu'il leur paraît utile de préciser.

C'est au cours des jours suivants que, guidés et aidés par la bibliothèque et le professeur de physio-pathologie qui reçoit l'aide bénévole de ses collègues de diverses spécialités, que tous les étudiants du groupe recherchent et discutent les documents éclairant ces points particuliers.

Le résultat de leurs travaux est publié le 14e jour dans cinq pages du journal intérieur « 3P »; celui-ci est distribué gratuitement à tous les étudiants de 3e année.

Le détail chronologique, jour après jour, des travaux du groupe est indiqué dans le tableau.

C) Résultats.

Ont participé aux groupes de travail :
- en 1968-69 : 179 étudiants (75 % des étudiants de l'année), répartis en 19 groupes.
- en 1969-70 : 165 étudiants (64 % des étudiants de l'année), répartis en 20 groupes.

Au total : 344 étudiants sur 499, en 39 groupes. Soit 2 étudiants sur 3.

D) Discussion des résultats.

Insistons sur un fait capital : il s'agissait d'un volontariat authentique, car rigoureusement libre.

En effet, le programme de 3e année de médecine ne prévoit rien d'autre qu'un enseignement de physio-pathologie de type classique, avec un examen terminal écrit et anonyme.

Ce point fondamental étant précisé, nous voudrions dresser le bilan de notre expérience, en discutant les avantages qu'ont pu en retirer les étudiants, l'enseignant et les bibliothécaires.

I° Ce qu'en ont retiré les étudiants.

« Vers l'auto-perfectionnement d'une pratique médicale raisonnée » : notre but si ambitieux est-il atteint?

a) en ce qui concerne l'entraînement des étudiants à leur auto-perfectionnement futur, il s'agissait en théorie de leur apprendre :
- à se familiariser avec une bibliothèque et avec les sources de la bibliographie médicale. Et ceci grâce à une initiation qui soit non seulement plus précoce mais aussi beaucoup plus pratique que lorsqu'elle est faite au moment de la thèse.
- à connaître l'ensemble des grands périodiques médicaux et à distinguer ceux qui leur apporteront une documentation sérieuse.
- à utiliser seuls des documents médicaux, quand ils auront quitté la Faculté et sa bibliothèque.

En bref, il s'agissait de leur « apprendre à apprendre » ou, plus modestement, de leur faire prendre conscience de la nécessité de les entraîner aussitôt que possible à l'auto-perfectionnement.

Pour préciser quelque peu l'efficacité de cette expérience, une enquête 3 a été réalisée auprès des étudiants de l'année. Sur les 52 questions posées, plusieurs concernaient l'enseignement de la bibliographie; voici l'essentiel des réponses :
- 3 étudiants sur 4 travaillent pour l'examen et en vue de leur auto-perfectionnement. Les autres, pour l'examen seul, par prudence ou par manque de temps.
- 1 ex-membre de groupe de travail sur 7 utilise désormais la bibliothèque plus souvent.
- la quasi-totalité des étudiants étaient déjà abonnés à un ou plusieurs périodiques médicaux. Mais depuis les séances de présentation critique des périodiques à la bibliothèque, qu'ils aient fait partie ou non d'un groupe de travail, II étudiants sur 12 sont désormais abonnés à la revue que le professeur préconise. En corollaire, le conseil d'éviter l'achat de manuels (à publication trop tardive) a été suivi : pas un seul ouvrage de physio-pathologie n'a été acheté cette année par les étudiants interrogés.

b) en ce qui concerne la préparation des étudiants à une pratique médicale raisonnée, il s'agissait en théorie de leur apprendre :
- à confronter le cours élaboré par le professeur aux sources bibliographiques utilisées par celui-ci.
- à confronter les unes aux autres les données qu'ils découvrent eux-mêmes au cours des deux semaines.
- à discuter ces données avec leurs condisciples du même groupe, avec le professeur de physio-pathologie, avec les professeurs ayant accepté d'aider le groupe.
- à condenser, donc préciser leur pensée, en rédigeant l'article du journal intérieur.

En bref, il s'agissait de leur « apprendre à raisonner ».

Au cours de l'enquête, 5 étudiants interrogés sur 6 ont déclaré que ces objectifs étaient atteints.

Ainsi, du moins à court terme, les deux rêves que nous avions formés à l'égard des étudiants (apprendre à apprendre, apprendre à raisonner) paraissent quelque peu réalisés.

2° Ce qu'en a retiré l'enseignant.

Grâce à cette expérience, le professeur a beaucoup appris des étudiants et des bibliothécaires, beaucoup plus qu'il ne l'imaginait au départ...

a) il a appris des étudiants que la grande majorité d'entre eux sont désireux d'apprendre leur métier avec sérieux. Quel réconfort pour lui de voir leur enthousiasme ! Sans la moindre espérance de points supplémentaires à l'examen, 2 étudiants sur 3 n'ont-ils pas accepté librement de consacrer de nombreuses heures à approfondir un sujet, leur après-midi hebdomadaire de liberté, et même trois de leurs soirées ?

En outre, les discussions répétées avec les étudiants, dans un système relationnel aussi étroit et chaque jour plus confiant, ont sans aucun doute amélioré l'efficacité pédagogique du professeur. Autre avantage : l'enrichissement du fichier « 3P » par les membres du groupe.

Cependant, on reste étonné du manque d'intérêt des étudiants pour les règles élémentaires de la référence bibliographique : ils n'en comprennent pas la nécessité!

b) il a appris des bibliothécaires beaucoup plus que l'art de rechercher et de citer des références : une juste notion des problèmes actuels de la bibliothéconomie. Ces problèmes sont à peu près ignorés des enseignants; et pourtant leur connaissance est une des conditions nécessaires à l'harmonieuse coopération entre une bibliothèque et une faculté. Notre collaboration étroite de deux années nous a bien souvent fait déplorer la rareté de cette prise de conscience chez les enseignants de médecine.

3° Ce qu'en ont retiré les bibliothécaires.

Au début de cette expérience, les bibliothécaires ne soupçonnaient pas l'ampleur de l'enrichissement que ces longs mois de collaboration leur apporteraient, tant sur le plan de leurs connaissances professionnelles que dans leurs relations avec les étudiants.

a) ils ont appris des étudiants que la majorité d'entre eux sont capables de venir spontanément à la bibliothèque pour y travailler pendant douze jours! En outre, les bibliothécaires ont appris à connaître les besoins bibliographiques très précis d'un étudiant de 3e année, donc à comprendre avec plus d'acuité ceux d'un futur médecin. Les années précédentes, seuls ou à peu près seuls les « thésards » et les chercheurs faisaient appel à un bibliothécaire; l'ensemble des étudiants n'étaient que des usagers de la salle de lecture. Et quel surcroît de prestige des bibliothécaires aux yeux de ces étudiants qui presque tous, prenaient jusqu'alors la salle de lecture pour une salle de permanence de lycée : les bibliothécaires sont désormais des co-enseignants.

Cette expérience a-t-elle simplifié la tâche des bibliothécaires? Certainement pas dans l'immédiat, mais sans nul doute à long terme. Déjà nombreux sont les ex-membres de groupe de travail devenus des familiers de la bibliothèque; il n'est pas rare d'en voir qui guident gentiment leurs cadets; et même - honneur suprême - qui aident dans ses recherches bibliographiques un « ancien » de 5e ou 6e année.

b) ils ont appris de l'enseignant à mieux répondre aux besoins précis des étudiants ; cette collaboration continue les a éclairés sur le rôle profond d'une bibliothèque dans l'enseignement médical.

Dans la connaissance de leur métier, ils ont acquis plus de rigueur en terminologie médicale. Fait original : la bibliothèque héberge un fichier tenu par des médecins (selon la classification Cando) : le fichier « 3P ». Or cette hétéro-greffe a été bénéfique aux deux parties; loin de souffrir de la proximité de ce jeune fichier, le catalogue alphabétique-matières traditionnel a gagné au contraire en précision et en rapidité d'exécution, tandis que les fiches « 3P » étaient plus aisément rédigées. Travailler côte à côte a rendu des plus faciles les conseils réciproques.

Enfin, les bibliothécaires ont saisi la gravité des critiques adressées par les médecins à la classification Cunningham adoptée dans le classement des usuels des salles de lecture de bibliothèques médicales, classification qui désoriente tant les étudiants.

Cette expérience avait été réalisée pour rappeler une évidence : que les bibliothèques doivent être un rouage essentiel dans l'enseignement professionnel des futurs médecins. Ses résultats nous ont démontré qu'elles peuvent l'être effectivement. En outre, les enseignants ont beaucoup à apprendre des bibliothécaires, et réciproquement.

C'est pourquoi nous sommes convaincus qu'un isolement des bibliothèques, quelle qu'en soit la cause, est nuisible à la fois aux enseignants, aux bibliothécaires et aux étudiants, c'est-à-dire à la médecine de demain.

Seule une collaboration étroite et confiante entre bibliothécaires et enseignants réalisera au mieux les objectifs de l'enseignement médical.

Illustration
Annexe

  1. (retour)↑  ARCHIMBAUD (Jacques). - Un Entretien sur la bibliographie et la documentation dans les sciences médicales (In : Lyon Méditerranée méd., 6, n° 56, pp. 37-62, 1970.)
    ARCHIMBAUD (Jacques). - Bibliographie et recherche documentaire en médecine et en pharmacie (2 vol. sous presse).
    ARCHIMBAUD (Jacques). - L'Enseignement de la bibliographie à la Faculté mixte de médecine et de pharmacie de Clermont-Ferrand (sous presse).
    BENOIT (J.), FABIANI (G.). - Les Sources de la documentation scientifique en médecine et en biologie. (In : Pathologie et biologie, 14, n° 1-2, pp. 134-136, 1966.)
    KŒST (G.), FRANCK (Cl.). - Notions élémentaires de bibliographie médicale. - Paris, Le François [1955]. - 64 P.
    PITHOIS (J.), BOREL (J. P.). - Comment faire une bibliographie. (In Annales de médecine et de pharmacie. Reims, 3, n° 3, 185-192, 1966.)
  2. (retour)↑  Réforme de l'enseignement. Communiqué du Conseil national à la grande presse et à la presse professionnelle (29 janvier 1969). (In : Bulletin de l'Ordre des médeciru, n° I, p. 98, 1969.)
  3. (retour)↑  LICHTLÉ (M.). - Étude d'une expérience pédagogique d'enseignement de la physio-pathologie en 3e année à la Faculté de médecine de Strasbourg. 1969-1970. [Thèse. Méd. Strasbourg (en préparation).]