La translittération des caractères cyrilliques

À propos de deux articles récents

R. S. Gilarevskij

N. V. Krylova

La recommandation ISO/R 9 relative à la translittération des caractères cyrilliques n'est pas observée par tous les pays. Une norme britannique BS 2979 : 1958 comporte deux systèmes : le système britannique et le système international ISO. Le premier article expose le point de vue anglo-américain de la Royal Society et ne fait aucune allusion à la recommandation ISO; le second exprime l'opinion de membres de la Chambre du livre de l'URSS et publie les tables élaborées par cette institution, qui sont très proches de la recommandation ISO.

Un système international pour la translittération des caractères cyrilliques a été publié par l'Organisation internationale de documentation (ISO) en octobre 1955 comme recommandation internationale ISO/R 9.

La translittération des caractères cyrilliques avait été inscrite à l'ordre du jour de la Fédération internationale des Associations nationales de normalisation (ISA) en 1939. La question fut reprise en 1947 par le Comité ISO/TC 46 et, après plusieurs années de discussions, un deuxième projet de recommandation distribué à tous les comités membres de l'ISO, en mars 1953, fut approuvé par les comités membres suivants, au nombre de 20 sur 34: Allemagne, Autriche, Chili, Danemark, Espagne, France, Hongrie, Irlande, Israël, Italie, Mexique, Nouvelle-Zélande, Pakistan, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Royaume-Uni, Suède, Suisse, Yougoslavie.

Le texte révisé et complété par une note introductive fut examiné par le conseil de l'ISO en 1954 et accepté comme recommandation ISO.

La recommandation éditée en anglais, en français et en russe a été reproduite (sans la note introductive) dans le Bulletin de l'Unesco à l'intention des bibliothèques, en appendice d'un article sur les Progrès internationaux dans le domaine de la translittération, par M. Francis L. Kent 2, alors directeur de la Bibliothèque de l'Unesco.

Cette translittération est utilisée par l'Unesco dans ses publications bibliographiques et dans le catalogue de sa bibliothèque.

En France l'Association française de normalisation a publié un fascicule de documentation : Translittération des caractères cyrilliques (FD-Z n° 46-00I) de janvier 1956, reproduisant l'essentiel de la recommandation ISO/R 9. La translittération ISO est recommandée par la Direction des bibliothèques de France et respectée notamment par le Catalogue collectif des ouvrages étrangers, par l'Inventaire permanent des périodiques étrangers en cours et l'Inventaire des périodiques soviétiques en cours.

Les États-Unis qui n'avaient pas approuvé la recommandation ISO continuent à défendre la translittération de la Bibliothèque du Congrès.

Quant au Royaume-Uni, la position qu'il a prise à l'égard de la recommandation ISO nous a été expliquée par M. Lloyd dans un article consacré à la normalisation et paru en 1959 3: « ... à cause de l'abondance relative des signes diacritiques cette recommandation fut trouvée inacceptable par des organismes importants aux États-Unis et en Grande-Bretagne où le projet commun à la « Royal Society » et à la « British Academy » de 1953 avait été assez largement adopté. L'intention première du Comité de la « British standard institution » de publier seulement le système ISO fut, en conséquence, modifié et la norme britannique si longtemps attendue fut publiée en fin de compte comme BS 2979 : 1958 avec les deux systèmes : le système « britannique » de type traditionnel (employant Zh, kh, sh, yu, ya, etc.) bien qu'il ne couvre que le cyrillique moderne et renvoie au système ISO pour le cyrillique serbe, et le système international basé sur la recommandation ISO/R 9 (employant ž, h, š, ju, ja, etc.) avec ses tables supplémentaires pour le slavon ecclésiastique et le cyrillique roumain, aussi bien que pour le moldave moderne écrit en caractères cyrilliques. Le système britannique a été bien accueilli dans les pays de langue anglaise, particulièrement aux États-Unis où un système unique agréé de type traditionnel était désiré depuis longtemps et on espère qu'il pourra éventuellement devenir, par un accord anglo-américain, après de légères modifications, le système normalisé « anglais », à toutes fins, en vue de l'usage courant. Le système ISO sera-t-il capable de rivaliser avec lui (pour un usage spécialisé) dans le monde de langue anglaise? On ne pourra le voir qu'après une période d'essai. Mais sans aucun doute il continuera à être utilisé dans de nombreuses parties du monde ne souhaitant pas adopter l'alphabet anglais et, bien entendu, dans certaines branches importantes des communications internationales et par des organisations internationales telles que les « Forestry abstracts » et la « World meteorological organization ».

Notre intention n'est pas ici de procéder à une nouvelle étude de la translittération des caractères cyrilliques, mais d'attirer l'attention sur deux articles relatifs à cette question.

Le premier a été publié sous le nom de la « Royal Society » à l'occasion de la 26e Conférence générale de la Fédération internationale de documentation à Rio de Janeiro en juillet 1960. Nous le reproduisons ci-après dans une traduction française avec l'autorisation de la « Royal Society ». On remarquera qu'il n'est fait nulle mention de l'ISO dans ce document.

Le deuxième est un article de R. S. Giljarevskij et N. V. Krylova paru dans Sovetskaja Bibliografija comme contribution à la Conférence internationale sur les principes de catalogage d'octobre 196I, et que nous publions en français avec l'autorisation de nos collègues russes.

TRANSLITTÉRATION DU RUSSE CYRILLIQUE EN ALPHABET LATIN
« Royal Society ». Londres 4.

La base du problème de la translittération sans équivoque des caractères cyrilliques consiste dans le fait que les alphabets russe, serbe et bulgare contiennent tous environ 46 lettres tandis que l'alphabet anglais en compte 26. Ce qui signifie que quelques lettres cyrilliques devront être translittérées soit en lettres anglaises munies d'accents spéciaux, soit en lettres anglaises employées par paires.

En 1953 il n'existait pas moins de vingt systèmes de translittération différents, tous utilisés couramment et la confusion qui en résultait était une sérieuse préoccupation pour les bibliographes scientifiques. Différentes tentatives avaient été faites pour y remédier. Dans l'une d'elles, l'alphabet croate avait été utilisé : cet alphabet dérive de l'alphabet latin, mais par l'emploi d'accents et de lettres doubles, il a un total de 30 caractères. Toutefois le monde occidental en général n'étant pas familier avec cet alphabet, cette solution ne semble pas avoir trouvé un accueil favorable, ni avoir été généralement acceptée.

La question a été étudiée à nouveau de 1950 à 1953 par la « Royal Society ». Une proportion substantielle d'accords a été obtenue de divers organismes et, en février 1953, la Société a publié ses propositions sous le titre de : The Transliteration of Russian, Serbian and Bulgarian for bibliographical purposes. Une acceptation très étendue de ce projet a été obtenue dans le Royaume-Uni.

Les discussions ont repris en 1956 par le fait de la « British standards organization » et, en 1958, un accord a été obtenu sur la promulgation d'un système de translittération « britannique ». Le système « britannique » qui a été publié dans la norme anglaise BS 2979 : 1958 est fondé sur celui de la « Royal Society » pour le russe avec un changement (qui affecte seulement la prononciation russe du signe I. et un changement dans le caractère russe inusité @). Aucune difficulté ne s'est élevée pour l'acceptation de la norme « britannique » à la place des propositions originelles de la « Royal Society ». La norme britannique de translittération du bulgare est aussi la même que celle qui était proposée dans le système de la « Royal Society ». En ce qui concerne le serbe, les propositions originelles faites par la Société et par la « British Academy » autorisaient une autre alternative consistant en l'usage de l'alphabet croate et, vers 1957, l'emploi croissant de cet alphabet (par exemple en Yougoslavie) a amené à recommander que l'alphabet croate soit adopté pour les translittérations du serbe. Depuis 1958, il existe donc un seul système britannique pour l'usage des bibliographes scientifiques 5, système fondé sur les critères importants qui suivent :
I) un système sans équivoque qui puisse être utilisé pour les noms d'auteur par un bibliographe ignorant la langue originale 6;
2) un système qui puisse recevoir une indexation alphabétique sans difficultés;
3) un système ayant le minimum d'accents et n'en employant aucun qui ne soit normalement à la disposition de la plupart des imprimeurs;
4) un système donnant quelque indication pour la prononciation.

En novembre 1958, des discussions sur cette question se sont tenues aux États-Unis avec la Bibliothèque du Congrès, le « Consultants bureau Inc. » et le directeur de l'Institut d'information scientifique de Moscou qui assistait à une conférence en Amérique. A la suite de ces discussions, le «Consultants bureau Inc. » a été d'accord pour employer le système « britannique » pour tout son propre travail de translittération et l'a adopté pour toutes les publications qu'il édite au nom de l' « American institut of physics », de l' « American institute of biological sciences » et de l' « Instrument society of America ».

Le directeur de l'Institut d'information scientifique de Moscou a également exprimé son désir de discuter dans cet esprit.

La « Royal Society » estime en outre que ceux qui sont membres de » l'Abstracting board » de l'ICSU ont un grand désir de voir adopter un système universel de translittération; il apparaît aussi qu'ils ne favorisent pas l'usage de l'alphabet croate et qu'ils préféreraient employer le système « britannique », ayant exprimé l'espoir que les pays de langue anglaise se mettent d'accord pour l'emploi de ce système, de façon à créer un mouvement en faveur de son adoption plus large.

La « Royal Society » pousse actuellement les choses plus loin dans le but d'obtenir une acceptation en forme du système « britannique » par les organismes d'analyses et les sociétés savantes britanniques et du « Commonwealth », par la « National Academy of sciences of the U.S.A. » et les autres académies nationales. En son temps, la Société se propose aussi d'ouvrir des négociations avec l'Académie des sciences de l'URSS non seulement pour obtenir la reconnaissance du système « britannique » pour le russe, mais aussi dans l'espoir d'obtenir un accord pour translittérer en russe les caractères anglais qui n'existent pas en russe.

On espère que les avantages de ce projet, sur lequel existe déjà un étroit accord anglo-américain, amèneront les bibliographes scientifiques à l'accepter plus largement.

TRANSLITTÉRATION EN CARACTÈRES LATINS DES NOTICES BIBLIOGRAPHIQUES RÉDIGÉES DANS LES LANGUES DES PEUPLES DE L'URSS

Les problèmes de translittération des notices bibliographiques en différentes langues n'utilisant pas l'alphabet latin, prennent à l'heure actuelle une importance de plus en plus grande. La possibilité d'exprimer en caractères latins des noms et prénoms d'auteurs, des titres d'ouvrages, d'articles et d'autres éléments bibliographiques indispensables au catalogage des publications en toutes sortes de langues du monde utilisant des graphies diverses est de nature à faciliter les contacts internationaux entre bibliothèques, centres bibliographiques, scientifiques, entre savants isolés et spécialistes. L'unification dans ce domaine rendrait plus faciles l'établissement des répertoires bibliographiques, la tenue des catalogues collectifs, les échanges des livres, la diffusion des nouvelles publications.

Robert Collison, bibliographe anglais bien connu, estime que le manque d'uniformité de translittération d'alphabets non latins entrave le développement de la bibliographie à l'échelle internationale 7. L'étude des problèmes de translittération à l'usage des catalogues de bibliothèques a été proposée comme sujet de discussion à la Conférence internationale sur les principes de catalogage, conférence qui doit avoir lieu en 196I.

Le problème d'écriture en alphabet latin des noms patronymiques et des titres russes fait depuis plus de cinquante ans l'objet de recherches des linguistes russes. Les progrès atteints dans ce domaine sont dus en grande partie au linguiste soviétique, l'académicien L. V. Ščerba, dont les travaux sur la transcription et la translittération sont à la base du système de translittération de l'Académie des sciences de l'URSS, système dont il a personnellement dirigé les travaux 8. Une variante de celui-ci à l'usage des bibliothèques permettant la re-translittération, c'est-à-dire le rétablissement du nom de famille ou du titre dans la langue originelle à partir de la forme translittérée, a été publiée dans Sovetskaja bibliografija en 1955 9 et se présente comme suit : 10

Cette variante s'identifie pleinement au système de l'Organisation mondiale de normalisation, publié en 1956 dans le Bulletin de l'Unesco à l'intention des bibliothèques 11; le système comprend 44 lettres d'un alphabet fondé sur le russe et qui compte à part le russe, le bulgare et l'ukrainien, le blanc-russe et le serbo-croate. Il est toutefois à remarquer que le système de translittération proposé pour les langues ukrainienne et blanc-russe présente des imperfections. Dans l'alphabet blanc-russe, par exemple, on constate le manque de la lettre y, alors que pour l'ukrainien, l'introduction d'une désignation à deux lettres ji pour translittérer la lettre ï nous semble injustifiable, car ceci va à l'encontre du principe de l'invariabilité des lettres identiques dont il est justement tenu compte pour la lettre i.

Il est évident que la création d'un système de translittération pour trois langues des peuples de l'URSS, même s'il s'agit des langues les plus répandues, ne dispense guère de la création de tables de concordances pour les autres langues utilisées par les différents peuples de l'URSS. La solution de ce problème est d'une portée capitale pour la diffusion à l'étranger de la littérature soviétique multinationale. Il convient de rappeler que certaines langues des peuples de l'URSS utilisaient autour des années 1920-1930 une écriture fondée sur l'alphabet latin. La création d'un système qui a pour objet d'exprimer à l'aide de l'alphabet latin des caractères d'une écriture nationale fondée sur le russe ne signifie nullement un éventuel retour à la « latinisation » de ces différentes langues, car ce système poursuit un but strictement limité au catalogage.

Puisque les recommandations de l'Organisation internationale de normalisation - Translittération des caractères cyrilliques (ISO Rg) - s'identifient au système pratiqué en URSS et sont par ailleurs largement approuvées par la majorité des pays du monde, nous estimons qu'il serait tout à fait logique de les adopter comme base de translittération pour d'autres langues utilisant l'alphabet cyrillique. Ce point de vue est d'autant plus justifié que les principes généraux de translittération formulés dans les recommandations se retrouvent à la base des systèmes correspondants à d'autres graphies et notamment à l'arabe et à l'hébreu 12.

Les systèmes de translittération bibliothéconomique et bibliographique doivent toutefois répondre à certaines exigences particulières. Ils ne peuvent en aucun cas prétendre à la transmission phonétique exacte des sons de la langue dont les caractères sont translittérés. Ils doivent en outre, comme on l'a déjà dit, permettre la re-translittération, et pour cela il est indispensable qu'à chaque caractère d'un alphabet donné corresponde un caractère déterminé ou une combinaison des caractères d'un autre alphabet et il faut que ces équivalents soient sans équivoque.

Ainsi, lorsqu'on a affaire à la translittération des diverses langues de l'URSS dont l'écriture est fondée sur la graphie russe, il va de soi qu'un alphabet d'une quelconque de ces langues ne peut comporter pour deux caractères différents les mêmes équivalents en caractères latins. Mais si les caractères des alphabets de diverses langues sont identiques, ou s'ils ont la même racine, ou bien s'ils sont phonétiquement semblables, ils doivent sans aucun doute être translittérés de la même manière; tout le système de la translittération est ainsi rendu plus homogène et plus mnémotechnique. En ce qui concerne la re-translittération, elle ne peut être effectuée qu'en connaissant l'alphabet de la langue translittérée 13.

La préparation d'un projet de système de translittération des langues des peuples de l'URSS utilisant une écriture fondée sur la graphie russe a été entreprise en 1955 à l'occasion de l'élaboration par la Chambre du livre de l'URSS des matériaux pour le répertoire international des traductions : Index translationum 14. A ce travail participaient V. D. Drakin, N. A. Lavrova et R. S. Giljarevskij. Le projet fut approuvé par la rédaction de l'Index translationum et mis en application dès le tome VIII de ce répertoire bibliographique. Par la suite des modifications et compléments ont été apportés à la variante initiale; ils ont été à leur tour approuvés et adoptés par la rédaction. En cinq ans, la Chambre du livre de l'URSS a acquis une certaine expérience de la translittération dans le domaine de la catalographie d'ouvrages en langues des peuples de l'URSS, expérience méritant, nous semble-t-il, d'être prise en considération.

Sur les 65 langues des peuples de l'URSS qui couvrent l'essentiel de l'édition du pays, sept n'utilisent pas l'alphabet russe (l'arménien, le géorgien, le yiddish, le letton, le lituanien, le finnois et l'estonien). Seize langues n'ont pas, par rapport à l'alphabet russe, de lettres complémentaires (lettres pourvues de signes diacritiques 15 : balkar, koriak, koumyk, man'śi (= ancien vogoul), moldave, mordvemokša, mordve-erza, nanai, yourak, guiliak, nogay, śelkup, ostiak, evenki, even, eskimo; les notices bibliographiques rédigées dans ces langues peuvent être translittérées selon le tableau ci-dessus sans aucune modification. En revanche, le problème de translittération des 42 autres langues de l'URSS demande une étude spéciale. La liste de ces langues est reproduite ci-dessous, avec indication des lettres complémentaires que l'on rencontre dans leurs alphabets, ainsi qu'un tableau de translittération de ces lettres (Tableau I et II).

En somme, le système de translittération des langues des peuples de l'URSS peut se résumer ainsi : la translittération de tous les caractères que l'on trouve dans l'alphabet russe se fait selon le système élaboré pour la langue russe, à l'exclusion de la lettre i en ukrainien qui s'exprime par y. Les lettres complémentaires qui se trouvent dans l'alphabet des autres langues se translittèrent selon le schéma donné par le tableau III.

Nous espérons que les tableaux de translittération des langues des peuples de l'URSS reproduits ci-dessous, ainsi que l'expérience acquise dans leur application par la Chambre du livre de l'URSS, lors de la préparation des matériaux pour la bibliographie internationale des traductions, peuvent contribuer à l'unification des notices translittérées par différentes bibliothèques soviétiques. Ces tableaux peuvent également présenter un intérêt pour les bibliothèques et centres bibliographiques de l'étranger ayant à cataloguer des publications dans les langues des peuples de l'URSS. Les tableaux pourraient servir, après examen, de base de projet soumis à l'approbation de l'ISO.

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Tableau

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Tableau I

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Tableau II (1/3)

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Tableau (2/3)

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Tableau (3/3) et Tableau III

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Tableau IV (1/2)

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Tableau IV (2/2)

  1. (retour)↑  Gilarevskij (R. S.) et Krylova (N. V.). -- Transliteracija bibliografičeskikh opisanij na jazykakh narodov SSSR latinskimi bukvami. (Iz opyta raboty Vsesojuznoj kniznoj palaty.) [Translittération en caractères latins des notices bibliographiques rédigées dans les langues des peuples de l'URSS. Usages suivis à la Chambre du livre de l'URSS.] (In : Sovetskaja bibliografija. Sbornik statej i materialov, n° 5 (63), 1960, pp. 37-44. -- K mezdunarodnoj Konferencii po problemam katalogizacii. -- Contribution à la Conférence internationale de catalogage.) -- Traduit du russe par Mme I. Forest, bibliothécaire à la Direction des bibliothèques de France.)
  2. (retour)↑  Gilarevskij (R. S.) et Krylova (N. V.). -- Transliteracija bibliografičeskikh opisanij na jazykakh narodov SSSR latinskimi bukvami. (Iz opyta raboty Vsesojuznoj kniznoj palaty.) [Translittération en caractères latins des notices bibliographiques rédigées dans les langues des peuples de l'URSS. Usages suivis à la Chambre du livre de l'URSS.] (In : Sovetskaja bibliografija. Sbornik statej i materialov, n° 5 (63), 1960, pp. 37-44. -- K mezdunarodnoj Konferencii po problemam katalogizacii. -- Contribution à la Conférence internationale de catalogage.) -- Traduit du russe par Mme I. Forest, bibliothécaire à la Direction des bibliothèques de France.)
  3. (retour)↑  Vol. 10, n° 5-6, mai-juin 1956, pp. 135- 14I. - La note introductive a été publiée dans un article de M. R. Frontard : Les codes de translittération et leur normalisation internationale. (In : Bulletin de l'Unesco à l'intention des bibliothèques, vol. 15, n° 2, mars-avril 196I, pp. 85-89).
  4. (retour)↑  A Decade of standardizing in documentation. (In : The Journal of documentation, vol. 15, n° 4, dec. 1959, pp. 208-225.)
  5. (retour)↑  F. I. D. 26e Conférence internationale. Rio-de-Janeiro, juillet 1960. - Traduit de l'anglais par Mlle Mallein, bibliothécaire à la Direction des bibliothèques de France.
  6. (retour)↑  En raison de leurs besoins particuliers, les géographes continuent à utiliser leur propre système.
  7. (retour)↑  Cela a nécessité un système qui puisse translittérer sans équivoque du russe en anglais et de l'anglais en russe (re-translittération, « back-transliteration »).
  8. (retour)↑  Collison (R. L.). - The Future of bibliography. (In : Mélanges offerts à Nicolas V. Mikhov pour son quatre-vingtième anniversaire. - Sofia, Ed. de l'Académie des sciences de Bulgarie, p. 216.)
  9. (retour)↑  Ščerba (L. V.). - Contribution au problème de la transcription. (In : Izvestija Otdelenija russkogo jazyka i slovestnosti imp. Akademii nauk, 19II, t. 16, vol. IV, pp. 160-170. - Ščerba (L. V.). - Translittération en alphabet latin des noms de familles et des noms géographiques russes. (In : Izvestija Akademii nauk SSR. Otdelenie literatury i jazyka. 1940, n° 3, pp. 118-126.)
  10. (retour)↑  Gilarevskij (R. S.). - Ob opisanii perevodov sovetskikh knig na inostrannye jazylci. Metod transliteracii. (Catalogage d'ouvrages soviétiques traduits en langues étangères. Méthode de translittération). (In : Sovetskaja bibliografija. Vol. 39, 1955, p. 3I.)
  11. (retour)↑  Il serait souhaitable de différencier ce signe de l'apostrophe et de le représenter sous forme d'un accent aigu ou d'un accent grave, car lors de la translittération l'aspect de l'apostrophe reste inchangé.
  12. (retour)↑  Kent (F. I.). - Progrès internationaux dans le domaine de la translittération. (In : Bulletin de l'Unesco à l'intention des bibliothèques. 1956, vol. 10, n° 5-6, art. 303, pp. 135-138.) [En français dans le texte.]
  13. (retour)↑  Voir : Communication de la réunion du Comité technique ISO/TC 46 « Documentation », 20-23 avril 1959 dans le bulletin d'information de l'Unesco : Nouvelles bibliographiques. 1959, t. VIII, n° 5, pp. 21-22.
  14. (retour)↑  L'information sur les alphabets des langues des peuples de l'URSS est recueillie dans l'ouvrage de R. S. Gilarevskij et V. S. Grivnin : Le déterminant des langues du monde d'après leurs écritures. - Moskva, 1960.
  15. (retour)↑  Pour les caractéristiques de ce répertoire consulter l'article de N. A. Lavrova : Index translationum (contribution de la Chambre du livre de l'URSS à l'élaboration de la bibliographie internationale), publié dans le recueil Bibliotekovedenie i bibliografija za rubežom, 1959, vol. II, pp. 214-22I.
  16. (retour)↑  Les signes diacritiques sont placés au-dessus ou au-dessous de certaines lettres afin de changer leur prononciation.