Chronique des bibliothèques

Bibliothèque nationale.

Exposition : Le Nôtre et l'art des jardins

A l'occasion du 350e anniversaire de la naissance de Le Nôtre, le Cabinet des estampes a organisé en décembre 1964 une exposition sur Le Nôtre et l'art des jardins dont l'initiative revient à la Société française d'architecture de jardins.

Le but de cette exposition n'a pas été de présenter une étude complète de Le Nôtre et son œuvre mais de faire connaître ses plus grands chefs-d'œuvre et de tenter pour chacun d'entre eux une démonstration : les Tuileries, Vaux-le-Vicomte, Versailles, Saint-Germain-en-Laye, Fontainebleau, Chantilly, Meudon, Sceaux. Sont exposées des pièces représentant les jardins avant les travaux de Le Nôtre, des relevés de plans et des gravures telles celles d'Israël Silvestre ou de Le Pautre réalisées lors de l'éxécution de ces célèbres jardins et qui en ont étendu la renommée. Des vues aériennes permettent de se rendre compte que l'état actuel de ces œuvres n'en est plus que le squelette. Ainsi peut-on voir ici tous les éléments qui permettraient la résurrection de ces ensembles comme à la fin du siècle précédent le parc de Vaux-le-Vicomte a été reconstitué grâce aux gravures d'Israël Silvestre.

Joints à plus de deux cents gravures, dessins et plans, les tableaux de la galerie Cotelle destinés à Trianon et des tapisseries des Gobelins recréent les couleurs et le décor du Grand siècle. Un album comportant un texte de Mr Louis Hautecœur et 48 reproductions avec commentaires est accompagné d'un catalogue sommaire de l'exposition 1.

Françoise Adam et Françoise Bonnin>

Exposition Hervé

Dans la salle de travail et dans le vestibule du Cabinet des estampes s'est ouverte en décembre une exposition des photographies d'architecture de Lucien Hervé. Ce photographe avait fait une exposition d'ensemble aux Arts décoratifs il y a peu de temps, mais il a donné ici une série de photographies autour des réalisations de Le Corbusier et de l'architecture orientale.

L'exposition offrait un système original de présentation : les pièces n'étaient pas, dans le vestibule, accrochées au mur, mais posées sur le sol et pendues au plafond. Dans la salle, elles étaient placées sur des éléments d'aluminium tordus volontairement. L'expérience a été considérée comme intéressante; c'est une étape vers un système de présentation qui permettrait de renoncer à l'accrochage traditionnel.

Bibliothèques municipales.

Carpentras (Vaucluse).

Exposition de chasse et d'armes anciennes. - Dans le cadre de la grande foire annuelle de la Saint-Siffrein qui se tient chaque année à Carpentras les 27, 28, 29 novembre, le Comité directeur de cette manifestation a demandé en 1964 au Conservateur de la Bibliothèque et des Musées d'organiser une exposition de chasse et d'armes anciennes dans le hall de l'Hôtel de ville. L'inauguration eut lieu en même temps que celle de la foire et en présence de Mr le Préfet du Vaucluse, de Mr le Maire de Carpentras accompagnés de toutes les autorités locales et d'une grande partie des autorités départementales.

A l'entrée, les visiteurs purent admirer un magnifique isard placé dans un cadre approprié et aménagé pour la circonstance ainsi que deux séries de belles vitrines contenant différents spécimens de gibier d'eau. Il s'agissait là d'un prêt consenti par le Conseil supérieur de la chasse à Paris. Un autre panneau monté grâce à l'amabilité des armuriers de Saint-Étienne montrait les différentes phases de la fabrication du fusil de chasse et quelques-unes parmi les pièces les plus modernes fabriquées à l'heure actuelle.

Dans la deuxième salle étaient exposés, outre les différents appeaux en usage, industrie locale fort prospère, des armes anciennes provenant pour la plus grande part des Musées de Carpentras, le reste ayant été mis gracieusement à la disposition des organisateurs par des particuliers; une vitrine était réservée d'autre part au matériel accessoire de la chasse dans l'ancien temps et une autre consacrée aux manuscrits : un exemplaire du Traité de la chasse de Gaston Phœbus, du xve siècle, et deux documents du XVIe et du XVIIIe venaient de la Bibliothèque Inguimbertine; un permis de chasse du début du XIXe siècle avait été prêté par un particulier.

Dans la troisième salle, toute une série de vitrines éclairées était consacrée au gibier à poil (loutre, renard, blaireau etc...) replacé dans son cadre habituel, et à quelques oiseaux carnassiers. Au centre de cette salle avait été reconstitué un pavillon de chasse.

Vers la sortie, venant toujours du prêt consenti par le Conseil supérieur de la chasse, quelques espèces d'oiseaux replacés dans leur cadre, puis un certain nombre de panneaux photographiques consacrés aux différentes réserves françaises et à certaines catégories de gibier.

Cette exposition, présentée d'une façon très heureuse grâce à la collaboration du Conservateur, du Comité de la foire et du Service technique de la Mairie de Carpentras, a obtenu un succès sans précédent dans notre ville. 7 000 visiteurs environ s'y sont rendus du 27 novembre au 6 décembre inclus, jour de la clôture.

Exposition des deux guerres. - Comme dans beaucoup d'autres départements, la Préfecture du Vaucluse avait décidé d'organiser ici une exposition itinérante à l'occasion du Cinquantenaire de la déclaration de la guerre de 1914-1918 et du 20e anniversaire de la Libération. Le Préfet et le Comité créé pour la cause ont demandé, par l'intermédiaire de Mr le Maire de Carpentras, au Conservateur de faire la prospection des documents dans cette ville. La Bibliothèque Inguimbertine a fourni pour sa part un certain nombre de pièces, surtout des affiches et des tracts, les particuliers, de leur côté, ont confié aux organisateurs écrits et objets. L'exposition, comprenant un certain nombre de panneaux placés par ordre chronologique, des vitrines et des mannequins habillés, a été montée par Mr le Directeur des services d'archives du Vaucluse et vernie le II novembre à Avignon. Elle a été installée à Carpentras le Ier décembre et inaugurée par toutes les autorités locales conduites par Mr le Sous-Préfet. Elle est restée ouverte jusqu'au 6.,Environ 1 200 visiteurs s'y sont rendus, dont des élèves des différents établissements de la ville et des groupes d'anciens combattants des deux guerres.

Chartres (Eure-et-Loir).

Exposition : Le Rôle du dessin dans l'œuvre de Delacroix. - La salle d'exposition de la Bibliothèque municipale a abrité, pendant le mois de décembre, une très intéressante exposition réalisée par le service éducatif du musée du Louvre « Le Rôle du dessin dans l'œuvre de Delacroix ».

Cette exposition réunissait 70 dessins dont un certain nombre rehaussés d'aquarelles, des études (d'après nature, d'atelier, d'illustrations), des eaux-fortes, des pages de carnet et des documents se rapportant particulièrement à Delacroix décorateur. Cette exposition montre l'importance accordée au dessin par Delacroix, dont ses adversaires avaient pourtant prétendu qu'il ne savait pas dessiner !

En même temps que l'exposition, le service éducatif des Musées nationaux prêtait un film en noir et blanc sur Delacroix et 48 très belles diapositives de l' œuvre du peintre.

Dans le cadre de l'exposition, trois séances ont pu être organisées, qui ont touché non seulement le Lycée, un Collège d'enseignement général et l'École normale d'institutrices de Chartres, mais une classe de Ire technique venue tout exprès de Nogent-le-Rotrou.

Chaumont (Haute-Marne).

Exposition : 1914-1918, 1939-1945 : deux guerres par l'image, le livre et le document. - Du 30 novembre au 10 décembre 1964, s'est tenue à la Bibliothèque municipale, dans la salle réservée à cet effet, une exposition sur les deux dernières guerres mondiales. Organisée par le bibliothécaire, Mr Henriot, qui est aussi le correspondant départemental du Comité d'histoire de la 2e guerre mondiale, elle a été inaugurée par Mr le Maire de Chaumont, le Conseil municipal et de nombreuses personnalités civiles et militaires. Elle retraçait par panneaux chronologiques, au moyen de documents authentiques, de photocopies et de photographies, les phases les plus marquantes des deux événements : la mobilisation, les combats, l'effort financier de l'arrière, les restrictions. Pour la guerre de 1914-1918, un panneau spécial était réservé aux documents rappelant le séjour du grand quartier général des armées américaines à Chaumont, en 1918. Pour la guerre de 1939-1945, une place était consacrée au rôle de la Haute-Marne dans la Résistance : carte des maquis et statistique de la déportation.

Des livres d'histoire et de littérature se rapportant aux deux périodes avaient été disposés dans des vitrines qui accompagnaient les panneaux.

Le nombre considérable de visiteurs, dont le tiers était des jeunes de moins de vingt ans, a justifié l'entreprise qui favorisa d'autre part la formation d'un courant générateur de nombreux lecteurs nouveaux.

Grenoble (Isère).

Annexes de prêt. - Ont été crées récemment trois annexes de prêt : la première ouverte en mars 196I avenue Teysseire dans un centre médico-scolaire à 4 kilomètres au Sud du centre de la ville, dans une nouvelle cité en plein développement, la deuxième en novembre 1963, dans un magasin (68 cours Berriat) situé sur une des artères de la ville les plus empruntées, la troisième (réservée aux enfants) en février 1964 dans un groupe scolaire (46 rue Ampère) à 2 kilomètres à l'Ouest du centre. Ces trois annexes complètent l'organisation de la lecture publique à Grenoble qui comprenait déjà deux bibliothèques de 15 à 20000 volumes, l'une fondée en 1883, l'autre en 1946 (avec salles d'adultes et d'enfants et prêts collectifs dans les administrations et les usines), et un bibliobus urbain inauguré en 1956.

Ces trois annexes nouvelles peuvent contenir en moyenne de 3 à 5 000 ouvrages en libre accès. Elles sont situées au rez-de-chaussée avec une entrée indépendante, une vitrine avec des livres en étalage et une signalisation sur rue. Elles ont parfois aussi une ou deux tables pour lecteurs et un meuble à périodiques. Celle en magasin, qui est la plus fréquentée, est ouverte quatre après-midi par semaine de 14 à 20 heures. L'annexe de prêt réservée aux enfants est ouverte le jeudi de 10 heures à midi et de 14 à 19 heures et le samedi de 15 à 19 heures. La troisième ne fonctionne encore que le samedi entre 15 et 19 heures.

Mulhouse (Haut-Rhin).

Exposition des graveurs mulhousiens. - Le 12 décembre 1964 a été officiellement ouverte à la Bibliothèque municipale la 13e exposition annuelle des graveurs mulhousiens. 12 artistes ont présenté 53 estampes, bois, linogravures, eaux-fortes, burins, lithographies, monotypes, exécutées au cours de l'année 1964.

Tours (Indre-et-Loire).

Exposition : La Vie et l'œuvre d'Anatole France. - En 1937, à l'occasion de l'Exposition internationale, Anatole France occupait au Trocadéro la place qui lui était due comme un des maîtres de la langue française. En 1945, le Centenaire de sa naissance (la guerre imposa cette année de retard) fut l'occasion de nombreuses expositions à la Bibliothèque nationale : « Anatole France, l'Homme et l'œuvre », au Musée Carnavalet : « Anatole France et Paris », à la Maison de l'Université : « Anatole France et ses amis ». A Tours, le Conservateur du Musée des Beaux-Arts choisissait le thème « Anatole France à la Béchellerie ».

En 1954, une exposition Anatole France était organisée au Musée des Beaux-Arts, il fallut recourir à de très nombreux prêteurs particuliers.

Cette année 1964, qui marquait à la fois le 120e anniversaire de sa naissance, le 50e anniversaire de son installation en Touraine, le 40e anniversaire de sa mort, fut choisie par un Comité formé de personnalités tourangelles pour célébrer plus spécialement le souvenir d'Anatole France. Entre autres manifestations : conférences, visite de la Béchellerie, etc..., fut « rééditée » l'exposition de 1954.

Là encore, un schéma chronologique a été adopté : de la première vitrine réservée à ses parents, à la dernière où était rassemblée une faible partie des ouvrages qui ont été consacrés à ce prix Nobel de littérature, les visiteurs purent parcourir toute l'œuvre d'Anatole France. Ils constatèrent combien cet écrivain qui se disait volontiers paresseux a été fertile : poésies, critique littéraire, romans, nouvelles, pièces de théâtre se succèdent, sans compter les articles dispersés dans des périodiques aussi divers que L'Amateur d'autographes, l'Univers illustré, Le Temps, l'Humanité, L'Écho de Paris, Le Figaro, La Revue de Paris, La Revue des deux mondes, etc. Cet écrivain, d'une culture étonnante, ne s'est pas confiné dans sa « cité des livres », il se jeta dans la mêlée de l'Affaire, prit parti quoi qu'il lui en coûtât; entraîné par l'amitié qui le liait à Jaurès, il dit sa foi dans l'humanité en route « Vers les temps meilleurs ». Cet aspect ne devait pas être passé sous silence.

Cette exposition, inaugurée le 21 novembre par Mr le Recteur G. Antoine, permit également de faire le point des acquisitions de la Bibliothèque depuis dix ans : la quasi-totalité des œuvres d'Anatole France, en édition originale, figure maintenant dans le fonds de la Bibliothèque municipale.

Bibliothèques centrales de prêt.

Lot-et-Garonne

Dans la Revue de l'Agenais, n° 3-4 de 196I, Mr Goasguen, alors directeur de la Bibliothèque centrale de prêt de Lot-et-Garonne, publiait les premiers résultats statistiques de l'expérience de lecture publique en Lot-et-Garonne entreprise par la Bibliothèque centrale de prêt. Après avoir noté alors les auteurs de romans et les principaux sujets de documentation semblant intéresser le plus vivement les lecteurs de Lot-et-Garonne, Mr Goasguen, dans un nouveau numéro de la Revue de l'Agenais 2, expose comment établir d'après cette expérience une véritable carte de lecture qui pourrait apporter une utile contribution à la géographie des faits culturels.

Bas-Rhin

Exposition : le livre, le journal, le disque pour enfants. - Encouragée par le succès rencontré l'an dernier par son exposition consacrée au jouet éducatif, l'École de pédagogie familiale décida d'organiser pour l'automne 1964 une exposition sur le thème « Le livre, le journal et le disque pour enfants ». Celle-ci a eu lieu du 4 au 15 novembre 1964 à la Maison de la famille, rue Sédillot à Strasbourg.

L'École de pédagogie familiale est un service de l'Association générale des familles, qui a son siège rue Sédillot à Strasbourg et qui est constituée pour la défense des intérêts familiaux auprès des pouvoirs publics, pour l'aide matérielle individuelle et collective (maison familiale de vacances, etc...) et pour l'aide éducative aux familles, assurée entre autres par l'École de pédagogie familiale, qui est pour le Bas-Rhin ce qu'est l'École des parents à Paris.

Pour cette exposition, le docteur Mathis, président de l'École de pédagogie familiale, entouré de ses collaborateurs, a fait appel à des personnes que leurs activités professionnelles portaient naturellement à l'étude des problèmes posés par le thème choisi. C'est ainsi qu'ont participé à l'élaboration, puis à la réalisation de l'exposition, Mme Antz, directrice de l'école Vauban à Strasbourg, Mr et Mme Beck, éducateurs au Centre Charles Frey à Strasbourg-Neudorf, Mr Jungblut directeur de musique et culture, Mr Morgenthaler, directeur du Centre régional de documentation pédagogique, et son adjoint Mr Ehrmann, Mlle Untersteller, directrice de la Bibliothèque centrale de prêt du Bas-Rhin.

Au cours de nombreuses réunions de travail, les organisateurs ont discuté, puis mis au point en commun le plan de l'exposition.

Tout le pourtour de la salle était occupé par les livres, partie qui avait été réservée à Mme Antz : des stands, illustrés de très nombreux volumes, offerts par les éditeurs sur notre demande, présentaient les livres avec leurs thèmes, leurs présentations, leurs buts, pour les différents âges (2-4, 4-6, 8-10, 10-12; 12-14, 14 ans et plus). Chaque fois, les critères pédagogiques, culturels, esthétiques étaient mis en valeur afin de permettre aux parents de choisir pour leurs enfants des livres qui leur procurent une détente agréable certes, mais saine et éducative en même temps.

Dès l'entrée, le « coin du Jeune », installé par les soins de Mr et Mme Beck, meublé d'un lit, d'une étagère et d'un petit bureau, offrait un aspect riant de ce que pourrait être la chambre d'un jeune, avec sa guitare, ses disques, ses revues et ses livres.

Au centre de la salle, un épi présentait d'un côté les disques, de l'autre la presse illustrée pour enfants.

La section des disques, organisée par Mr Jungblut, présentait le disque comme un élément de loisir culturel et pas seulement comme une « machine à bruit ». Un premier panneau donnait des conseils pour juger de la qualité technique d'un disque, pour le manipuler et le préserver de ses ennemis. Les autres panneaux montraient les collections de disques, avec leurs tendances et les âges auxquels elles s'adressent (3-9, 9-14 ans). Les disques étaient présentés sous la forme de leurs pochettes.

La presse illustrée pour les jeunes, confiée à Mlle Untersteller, occupait quatre panneaux : le premier retraçait l'historique de la presse enfantine depuis 1850, lorsque régnait encore l'Image d'Épinal, à nos jours; le second panneau énumérait les besoins de l'enfant que le journal peut et doit satisfaire et la réponse donnée par « l'industrie de l'illustré », avec les moyens et les buts des éditeurs; le panneau suivant présentait les critiques sur le fond et la forme de ces journaux, le dernier tentait de dégager les critères du journal éducatif, de donner des éléments pour juger de la valeur d'un illustré, et d'aider les parents dans le choix des journaux pour leurs enfants.

L'exposition était ainsi très vivante, abondamment illustrée, gaie de couleurs et d'atmosphère. Les panneaux avaient été prêtés par le Centre régional de documentation pédagogique, et toute la représentation graphique conçue et exécutée par Mr Gay, décorateur, professeur au lycée technique.

Les visiteurs pouvaient emporter après la visite - gratuite bien sûr - des feuilles multigraphiées où ils trouvaient, à côté d'un résumé des trois sections, des listes de collections de livres, de disques et de journaux avec un commentaire critique.

Enfin l'exposition a été complétée par deux causeries destinées aux parents intéressés par ces problèmes, l'une par Mr Michel Gentilhomme, professeur au Conservatoire de musique de Strasbourg, sur la formation musicale du petit, l'autre par Mlle Untersteller sur la lecture de l'enfant d'âge scolaire.

Cette exposition entre d'ailleurs dans un ensemble de sujets de réflexion et de discussion proposés cette année aux familles et portant sur le thème « les loisirs de nos enfants », thème qui sera illustré au cours de l'hiver et du printemps par une suite de conférences.

L'exposition a reçu beaucoup de visiteurs, attirés par le thème, bien choisi avant les fêtes de fin d'année, et préoccupés d'offrir à leurs enfants, grands ou petits, des livres, des disques ou des illustrés qui soient pour eux à la fois une occasion de distraction et de détente, et un véritable moyen de formation et de culture.

  1. (retour)↑  Bibliothèque nationale. Paris. - Le Nôtre et l'art des jardins. (Préf. par Étienne Dennery. André Le Nôtre, 1613-1700, par Louis Hautecœur.) - Paris, impr. Tournon, 1964. - 27 x 20,5 cm, 62 p., 48 pl., couv. ill. Le Nôtre et l'art des jardins. Décembre 1964-janvier 1965. [Catalogue sommaire de l'exposition.] - 20 p.
  2. (retour)↑  Goasguen (Jean). - Introduction à une géographie de la lecture publique en Lot-et-Garonne. (ln : Revue de l'Agenais, juillet-septembre 1964, pp. 263-274.)